J'irai mourir demain Arte

Lea, bientôt 23 ans, est atteinte de la mucoviscidose. Tandis que la maladie atteint son stade terminal, la jeune femme est lasse d'avoir à subir une souffrance permanente sans espoir de guérison. Elle décide de se rendre à Zurich afin de mettre fin à ses jours avec l'aide d'une équipe médicale. A la veille de son anniversaire, elle invite sa mère, sa sœur et sa grand-mère, la seule à être dans la confidence, à la rejoindre sur place.

Téléfilm Allemagne 2013 durée 95mn

Synopsis de J'irai mourir demain

Lea est en phase terminale de la mucoviscidose. Poussée à bout par la souffrance et les conditions éprouvantes de son traitement, elle décide de se rendre en Suisse pour mettre fin à ses jours, aidée par une équipe médicale. Sa grand-mère, sa mère et sa soeur sont invitées à la rejoindre à Zurich, pour célébrer son 23e anniversaire. Lea a décidé que ce jour serait aussi celui de la mort qu'elle a choisie. Seule sa grand-mère a été mise dans la confidence. Un ancien amour de Lea se joint à cette étrange réunion de famille. En compagnie de ceux qui aimeraient garder Lea dans le monde des vivants et de ceux qui acceptent sa décision, une course contre la montre s'engage...


La critique TV de télérama du 30/05/2015

On aime un peu

Lea, atteinte de mucoviscidose, n'a plus que quelques mois à vivre. Elle décide de se rendre en Suisse pour mettre fin à ses jours avec l'aide d'une équipe médicale. La jeune femme, qui a choisi le jour de son 23e anniversaire comme date de sa mort, a invité sa soeur, sa mère et sa grand-mère à la rejoindre. Mais seule cette dernière connaît la vérité. Lorsque Lea révèle sa décision à sa mère, celle-ci ne parvient pas à l'accepter.

Ce téléfilm réaliste et sensible, entièrement porté par la composition déchirante de Liv Lisa Fries, choisit de ne rien cacher des dernières heures de son personnage. La souffrance, la détermination funèbre de Lea sont filmées en pleine lumière et, bien souvent, l'émotion affleure. Mais dans les vingt dernières minutes, trop longues, presque insoutenables, c'est le malaise qui guette : tant de crudité était-elle nécessaire ? — Pierre Ancery

c'est dommage, je ne trouve pas encore la vidéo de ce téléfilm que je pourrais insérer ici. L'actrice principale m'a impressionnée au niveau de sa respiration (quand je suis anxieuse et angoissée, ma respiration ne change pas, mais j'ai la sensation d'une cage thoracique non douloureuse, mais très dure et si à ces moments-là,on me demande de faire de longues inspirations et de longues expirations pour me détendre, je pète les plombs ).
Les vingt dernières minutes ne sont pas du tout insoutenables...

Admin a écrit:

ceci est la preuve qu'il y a bien une vidéo !

Pourquoi on ne trouve pas l'intégralité de ce film sur internet ??? ??? ???
( sur YouTube par ex )

Je dénonce une certaine " dictature idéologique " ! ...