Jean Léonetti, fin de vie

je sais que je perds la tête car je me répète
mais quelque part, c'est votre faute à tous et à toutes sans exception
car on n'avance pas sur la  fin de vie en France depuis des années
oui je perds la tête concernant d'autres trucs ds ma réalité
alors je viens ici pour me défouler
je suis ambigue, n'est-ce pas ? comme vous tous et toutes
j'ai l'impression d'être ds une bulle infernale
çà m'amuse et j'en souffre
allez comprendre !

c'est mieux de taper sur quelqu'un plutôt que sur soi, mais enfin tout de même
ah Léonetti rime avec phobie
si ce bonhomme passe ici, peut-être sera-t-il content d'être aussi important ?
moi je me comprends. Ceci dit, je suis un cas ! hors norme ! une exception !
alors je devrais figurer ds aucune loi ???

j'ai écrit que le S.A. est une sorte d'IVG des lois Léonetti
donc on ne peut pas ajouter le S.A. à la dernière loi de février 2016
ce qui me semblerait pourtant le bon et juste compromis
ou on ajoute, ou on supprime, soit l'un, soit l'autre
mais svp pas de référendum, la réponse dépend de la question et aussi des votants... ...

Jean Léonetti nous oblige à être EVC ( Etat Végétatif Chronique ) quelques jours et quelques nuits avant notre mort
alors qu'il peut se pîquer lui-même pour crever qd il veut, et où il veut
hypocrisie de merde à la française...
vive la France et vive la République

J'avais écrit que Jean Léonetti est un assassin :

« On meurt mal en France » : Colette explique son suicide à Rouen dans une lettre
Une femme de 82 ans s'est suicidée par noyade dans la Seine, vendredi 20 septembre 2019. Dans une lettre, la victime qui revendique le droit à l'euthanasie, explique son geste.
Publié le 23 Sep 19 à 18:08
Colette a adressé une lettre manuscrite à la rédaction. Elle voulait, par ce geste, relancer le débat sur la fin de vie.
Colette a adressé une lettre manuscrite à la rédaction. Elle voulait, par ce geste, relancer le débat sur la fin de vie. (DR)
« Quand vous recevrez cette lettre, je ne serai plus, car noyée dans la Seine. » Colette R. a pris soin d’adresser un courrier à la rédaction de 76actu avant d’entreprendre son geste fatal, à Rouen (Seine-Maritime). « Avec ce fait-divers de noyade », elle espérait que le débat sur la fin de vie soit relancé. Lundi 23 septembre 2019, trois jours après son suicide, la rédaction a reçu cette lettre.

Une « petite bonne femme » d’1,36 mètre pour 38 kg
Vendredi 21 septembre 2019, vers 22 heures, cette femme âgée de 82 ans s’est jetée dans la Seine, quais de Bois-Guilbert. « Cette petite bonne femme », comme elle se décrivait elle-même, souffrait d’une maladie osseuse depuis sa naissance. « Elle avait perdu beaucoup de densité osseuse. Elle était très fragile. Elle devait peser 38 kg pour 1,36 mètre. Elle souffrait », témoigne sa fille unique.

Un rapport médical datant de 1989 atteste de cette maladie. Colette venait alors d’être hospitalisée au CHU de Rouen :

Elle présente effectivement une maladie de Lobstein comme l’attestent les fractures multiples des os périphériques ayant débuté à la naissance. […] Cette maladie de Lobstein est encore évolutive comme en témoignent des tassements vertébraux récents avec perte de cinq centimètres de hauteur environ ces six derniers mois.

La mort comme « délivrance »
Cette ancienne kinésithérapeute du centre médical de Buddicom à Sotteville-lès-Rouen savait quelles seraient les épreuves à subir dans les années qui lui restaient. « Elle avait déjà fait une lettre de ce type, il y a cinq ans. Nous étions intervenus à temps et elle avait été hospitalisée », précise sa fille. « Cinq ans de souffrance », relate Colette qui ajoute :

Honte à la mentalité française qui ne respecte pas ceux et celles pour qui la mort serait une délivrance et la réclament à cor et à cri.

« On meurt mal en France »
« Maman a vu son mari, mon beau-père malade, se dégrader et mourir. Elle a été terriblement marquée, indique sa fille émue. Quand elle rentrait à l’hôpital, elle savait qu’ils allaient la maintenir. »

« Ce sont les autres qui décident à votre place. Nous ne sommes pas libres sur le choix de notre mort. » Dans ce courrier de deux pages manuscrites, Colette fait référence à de nombreuses reprises à l’euthanasie :

Comme le dit Jean-Luc Roméro, président de l’association pour le droit de mourir dans la dignité, « on meurt mal en France ». Avec ce faits-divers de noyade, j’aimerais que vous relanciez ce droit de s’éteindre en douceur entouré des siens.

Sa fille unique dit comprendre son geste, mais cela reste néanmoins « très dur » pour elle : « Elle ne m’a pas dit au revoir, ça me gêne énormément ».

que de temps perdu, franchement... qd on sait ce qui attend la France en mai 2022
putain bordel de merde...
oui putain bordel de merde !

ce n'est pas possible, le fait que Marie de Hennezel n'ait jamais pu mettre Jean Léonetti sur le divan, çà ne tourne pas rond chez ces gens-là qui  prétendent être des soignants

Note de Jean Léonetti au Conseil d'Etat à propos de l'affaire V.L.
Obstination déraisonnable et droits des patients
CLIC ICI
dix pages

50 millions d’obèses en plus depuis 2010 dans l’OCDE
Le traitement des maladies liées au surpoids devrait coûter 425 milliards de dollars par an aux pays développés.


Avec toute cette graisse, impossible de mourir à la sauce Léonetti en quelques jours et quelques nuits car le corps se nourrit de la graisse accumulée
bon, je ne suis ni docteur ni infirmière

le monde palliatif français est en plein délire, c'est du n'importe quoi

la fin de l'année approche, j'appelle au " ZERO DON " pour la recherche médicale et les soins palliatifs
ainsi qu'au " ZERO VOTE ELECTIONS " pour après.
Franchement...

Ce qui m'interroge, c'est comment Jean Léonetti n'arrive pas à sortir de son point de vue...

Tourcoing : un enfant de dix ans retrouvé pendu dans sa chambre

au moins c'est radical.. est-ce son choix ( à dix ans ) ?

peut-être un simple jeu ( je ne dis pas lequel ).

MOURIR DE FAIM ET DE SOIF PENDANT DES JOURS ET DES NUITS, CE N'EST PAS MIEUX et pourtant c'est légalisé en France depuis des décennies.

Je joue ici comme j'ai joué avant 2011 virtuellement avec les pro-vie et les pro-euthanasie
comme j'ai joué avec mon corps ( jeûne total et complet par ex. ).
mais Jean Léonetti joue aussi. Son jeu dure, on en a marre.
En 2022, la France aura deux bonnes femmes comme candidates à la présidentielle...
lesquelles ?
on en a raz le cul de votre jeu politicien de merde.

je n'arrive même pas à me pendre
ouvrir la fenêtre ? pourquoi pas ? mais si c'est pour atterrir en réanimation, non merci et en plus je peux tuer quelquelqu'un en l'écrasant
j'ai la tremblote, que se passe-t-il?

Alors Jean, nous ne sommes pas ds la modération actuellement en France...
moi je vais bien  tant que les pharmacies sont ouvertes
sinon je serai bien obligée de sauter par la fenêtre
suppression du Myolastan
suppression du Décontractyl
bientôt suppression du Doliprane, du Nurofen, de l'aspirine ?
on ne pourra même plus se suicider aux medocs !!!!!

Réforme des retraites: un compromis avec les syndicats «à portée de main», selon le gouvernement
Pour Bruno Le Maire, un accord sur le dossier épineux des retraites n’a «jamais été aussi proche». Le ministre a accueilli favorablement la proposition de la CFDT d’organiser une «conférence de financement» rapidement.

Par Wladimir Garcin-Berson
Publié il y a 4 heures, mis à jour il y a 3 heures

C'est con, çà ! ce compromis qui vient si vite alors que Jean Léonetti refuse tout compromis avec l'euthanasie et le suicide assisté !
ceci dit, la réforme des retraites va entraîner un nouveau droit de mourir ds la dignité ( cf Jacques Attali )
alors ce n'est pas si con que çà ?
Je n'en sais rien, je ne sais plus...
j'ai mal au dos et j'en ai marre
j'ai mal au dos MERDE et on a supprimé le Myolastan et le Décontractyl
J'AI MAL AU DOS

Jean Léonetti est un poids lourd

citation sur le web:
Faut-il un assouplissement de la réglementation comme le plaide Jean Leonetti ? Et effectuer, sans le dire, un pas supplémentaire vers l’euthanasie

commentaire:
trop, c'est trop. Je me serais tue, à sa place. Ou j'aurais annoncé ma démission. Son collègue A.C. ne dit rien..

Il s'agit de l'Hypnovel  prescrit exclusivement en milieu hospitalier ( l'Hypnovel ne fait pas mourir, il rend amnésique ). On souhaite que les généralistes puissent l'utiliser à domicile. Mais ce produit est inefficace pour les patients drogués aux benzodiazépines.

D'ailleurs cette question aurait dû être résolue  sous le quinquennat précédent... ....

Je suis pour euthanasie et SA en plus de ces lois Léonetti ds les délais les plus brefs...
mais je rêve !

Zone Interdite sur M6
Les foyers sont aussi concernés par des détournements de fonds. L'enquête révèle qu'une ancienne directrice de foyer droguait les enfants à coups d'antipsychotiques pour avoir la paix et les frappaient tout en ayant détourné 200.000 euros. 


La Sédation Profonde Continue Jusqu'au Décès, c'est la même chose. On drogue les mourants pour qu'ils ne souffrent pas mais surtout pour avoir la paix tout en ne les faisant pas mourir pour que l'occupation de lits rapporte du fric à l'établissement ( qui demande des dons... ).

Quel est l'imbécile qui a dit qu'il y a un droit et un devoir à la vie et aussi à l'euthanasie passive, et qu'il n'y a pas de droit à la mort ???

1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
2012 2013 2014 2015 2016

soins palliatifs blablabla noble et digne ???
Léonetti 22 avril 2005

OU

1978 1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 

euthanasie suicide assisté blablabla noble et digne ???
Léonetti 22 avril 2005


Bref...


2005, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016,
2017, 2018, 2019, 2020, 2021, 2022 ... ... .. 
blablabla noble et digne ???

Tous les médicaments ont des effets secondaires qui pourraient éventuellement entraîner la mort. Dans cette perspective, c'est absurde de supprimer chez un patient en fin de vie traitement + alimentation + hydratation  ds le but de le faire mourir.
Je suggère une mise en examen de Mr Jean Léonetti et une mort " à la carte "...
Désolée, mais... " faut pas pousser". Refaire une loi plusieurs fois sans chercher à la faire appliquer tout en se répétant bêtement, faut le faire, tout de même
car il y a de moins en moins d'euthanasies clandestines en France à cause de ce que j'appellerais " l'affaire Jean Léonetti ".

LOI n° 2016-87 du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie

c'est là un des pbs, en révisant sa loi de 2005, J.L. aurait dû corriger " loi créant de nouveaux droits en faveur des personnes malades, des personnes dépendantes, et des personnes en fin de vie " , le texte de sa loi aurait-il été plus clair, net et préçis ?

On peut être malade sans être dépendant ni en fin de vie
on peut être dépendant sans être malade ni en fin de vie
les personnes âgées ET les personnes handicapées sont dépendantes

Jean Léonetti n'a aucun respect pour les personnes qui sont à la fois malades, âgées, handicapées, il s'en fout complètement

Bienheureuse l'affaire Vincent Lambert
bienheureuse l'affaire Jean Vanier
Mais pourquoi faut-il tant de souffrances alors que la vie est courte ?
"Mourir en paix" il y a des mots qu'on finit par détester !!!
je refuse de mourir en paix, je rêve de mourir vite, comme je respire, comme je pète, comme je rote
d'ailleurs les cadavres pètent
désolée
après tout, on s'est tous drogué, enivré, tranquillisé par un moyen ou par un autre
alors la mort par sédation n'est pas si absurde
mais qu'on nous laisse le choix au moins

Le corps est bien entre les mains des Pompes Funèbres avant l'enterrement ou l'incinération
logique est la Sédation Profonde Continue Terminale Jusqu'au Décès
chacun a vécu ds l'utérus d'une femme ( enfin en général )
chacun naît ds une maternité qui fait partie d'un groupe hospitalier
on peut concevoir la société comme un utérus sociologique
notre naissance est préparée comme notre mort est préparée
logique, tout ceci, mais pourquoi est-on obligé d'y adhérer
alors que ds d'autres pays voisins cela se passe autrement ?
Jean Léonetti nous dit que le suicide est une liberté...
il signifie ainsi que tout le reste ne l'est pas !
Effectivement il nous prend en otages depuis pas mal d'années

CITATION SUR LE WEB
"Jean Leonetti avait prévenu : si le suicide assisté avait été dans le périmètre de la mission, il ne l’aurait pas acceptée. Pour Alain Claeys, les choses n’étaient pas si claires et il confiait récemment ne pas avoir d’idée arrêtée sur la question ".


Il y a des démissions nobles et dignes.

J.V. un mec qu'on a soigné pour son coeur et pour son cancer
application de la loi du 22 avril 2005 ?
on aurait dû le laisser crever...
la Sécurité Sociale a gaspillé du fric ...

Il faut savoir ce que je veux
J.L. nous prend en otages tout en ne faisant pas appliquer sa loi et les révisions de sa loi
Je peux sauter par la fenêtre et je ne saute pas
Votre Midazolam, vous pouvez vous le foutre là où je pense
Je NE veux PAS de votre mort soi-disant apaisée
Je VEUX une mort RAPIDE
je voudrais pouvoir choisir mon produit létal
nous sommes en France, pays des Droits de l'Homme

dans le cadre des lois Léonetti, les patients ont la possibilité de se suicider biologiquement avec discrétion en vue de raccourcir la durée de la dernière sédation. Les soignants n'en sauront rien mais étant devant le fait accompli, ils seront dans l'obligation d'accompagner ces patients dans la mort.
Une sorte de Suicide Assisté... ... ...

La vie nous est tombée dessus ( les femmes " tombent enceintes " ).
"Tu ne tueras pas" ( Décalogue de l'Ancien Testament de la Bible )
MAIS
on pense la mort ( pour ceux et celles qui ont la faculté de penser ) et on vit la mort par le deuil et / ou par l'idée, l'envie, la tentative, l'acte du suicide.
François Fillon, François Hollande, Jean Léonetti peuvent éventuellement provoquer le suicide
Idem pour la partie adverse.
Je pense donc je suis. Nous pensons donc nous sommes.
C'est là l'essentiel, non ? sauf que les dingues pensent aussi !
Jean Léonetti s'acharne, voilà le pb.

Patrick Devedjian est décédé du coronavirus.
On attend votre tour, Jean Léonetti.
Quant à moi, j'ai froid, mais personne ne veut me filer ce virus
je ne me fais pas d'illusion, si j'atterris à l'hosto, on ne me réanimera pas, vu mon état clinique actuel mais je préfère mourir chez moi, bien au chaud même si j'ai froid.
J'ai froid...

Toujours pas de coronavirus pour moi ou/et pour Jean Léonetti
l'une ne sera pas réanimée, l'autre si ???
comme c'est vilain de jouer avec l'idée de la mort !!! !!! !!!

Ben alors, qu'est-ce que j'attends pour sauter par la fenêtre ?
Je suis FATIGUEE physiquement, psychiquement, intellectuellement, spirituellement
à cause de
Sarkozy qui a pondu Hollande qui a pondu Macron
j'entre en DEPRESSION
une fin de vie médiatisée horrible et lente de François Fillon et Jean Léonetti me ferait revivre ???
je peux tjrs courir...
j'en ai marre, tout le monde en a marre et ce n'est que le début...

avant de sauter ds le vide, il faut que j'écrive ici qui je suis et où je suis et ensuite réussir mon saut,
ce qui donnera l'occasion aux moteurs de recherche de m'envoyer 3500 invités ? j'aurais ainsi battu le record du nombre des utilisateurs en ligne en me parlant à moi-même !
mais pourquoi je fuis les liens ? ah, j'ai mes raisons... ... ...

(il faut encore que je sache qui je suis et où je suis !!!  virtuellement et surtout réellement !!! covid 19, confinement, déconfinement, c'est DINGUE !!! ).
Je sais que je suis en train de devenir folle à cause de Jean Léonetti et à cause de ce virus, oui, je deviens folle, c'est comme si j'étais quelqu'un d'autre, je ne suis plus moi-même tout simplement. Alors si je saute ds le vide, le pb est résolu au niveau de moi-même.
Macron avec son confinement/déconfinement fait exactement comme Léonetti avec la fin de vie
j'en ai marre de ce pays, de ce continent, de cette planète. Mais je ne suis pas la seule à en avoir marre.
cela se passe bien à Antibes, Jean Léonetti ? cela se passe bien à l'Elysée, Emmanuel Macron ? c'est cool pour vous... trop cool ! il faudrait que çà pète de nouveau, cela n'a pas assez péter...depuis ???

Publié le 30 avril 2020 à 21h33
Récession : « Le plus dur est devant nous », estime Bruno Le Maire

Tant pis.. Non, tant mieux ! une injection de chlorure de potassium est plus économique et surtout plus rapide que l'agonie selon Jean Léonetti ... ... ...

il aurait fallu faire autrement depuis des décennies  au niveau politique, économique et sociétal... ... ...

la lente et douce euthanasie numérique a commencé depuis longtemps et comme si cela ne suffisait pas, le port du masque deviendra obligatoire !

Bienvenue chez les dingues en liberté !

les Gilets Jaunes n'ont pas eu l'occasion d'achever ce qu'ils ont entrepris, dommage...

quant aux écolos, laissez-moi mourir de rire !!! surtout les écolos cathos ...

Désolée...

Coronavirus. Jean Leonetti : entre banalisation et comptabilité morbides...
Publié le samedi 4 avril 2020
Catégorie C'est notre santé
« Peur du virus ou virus de la peur ? »  titrait LCI. Le maire d’Antibes Juan-les-Pins, généraliste apporte lui son analyse sur la façon de communiquer et de traiter le sujet. En guise de plaidoirie pour un retour à la normale et à la dignité dans la mort.



La mort comptabilisée et confinée

Tous les soirs on nous communique le nombre de morts à la suite de la pandémie COVID-19 dans notre pays. Même si le suivi de la courbe des décès est évidemment utile pour suivre l’évolution de la maladie, il y a dans cette comptabilité quotidienne une forme d’indifférence et d’inhumanité.

La mort comptabilisée s’invite, inquiétante et banale, dans la brutalité d’une société médiatique et se résume à un graphique sur une échelle logarithmique.

On n’en oublierait presque quelques évidences : La mort fait partie du quotidien de tous les groupes humains. Les Français meurent encore le plus souvent d’autres causes (maladies cardiovasculaires, cancers, accidents...). La grippe hivernale, malgré l’efficacité de la vaccination entraîne chaque année le décès de milliers de nos concitoyens. Et surtout la maladie évolue favorablement dans 95 a 99% des cas.

Les dizaines de milliers de morts dont on ne fait qu’un comptage global annuel font partie de ces morts prévisibles et acceptées, car elles laissent une place à la volonté de nos choix de vie. En revanche, la mort survenant au cours d’une épidémie semble frapper aveuglément et presque injustement. Mais la mort n’est-elle pas toujours injuste et aveugle ? La mort due au Covid19 est aussi une mort confinée non accompagnée par les proches, ni avant, ni après le décès : c’est une mort solitaire au deuil escamoté. C’est une mort numériquement publique et humainement cachée.

Dans le « monde d’après » on ne nous fournira plus le nombre quotidien de décès. Nous ne serons pas pour autant libérés de notre « finitude ». Nous repenserons alors la mort de chaque personne et nous aurons peut-être mieux compris l’importance de l’accompagnement de la fin de vie et de pouvoir à nouveau se dire « au revoir ».



[NDLR : on peut tout à fait comprendre la démarche de Jean Leonetti. D’un côté il relativise la mise en scène de la comptabilisation des malades et de l’autre, dénonce les conséquences du confinement sur les personnes en fin de vie et leur famille. Mais, il reste bien des inconnues qui inquiètent à juste titre le public et les autorités. Comme la durée de ce virus et ses singularités. S’il peut ressembler sur certains aspects à une grosse grippe, son traitement mobilise beaucoup plus de matériel et de personnel médical. D’ailleurs, si le taux de guérison est élevé, c’est justement à cause de l’importance de cet effort logistique et sans nul doute de l’impact du confinement sur une partie de la population, celle qui s’y astreint. Inquiétant aussi, la capacité du virus à se réactiver sur des personnes guéries. D’autre part, cette relativisation ne risque-t-elle pas de rassurer trop vite un public prompt à baisser la garde ?]

eh bien, nous attendions plus de clarté et de concret à propos de toutes vos lois sur la fin de vie ( 2005, 2008, 2010, 2016 ), on attendait aussi que votre collègue A.C. fasse bouger les choses, mais visiblement il serait plus mou que vous...
on attendait et maintenant on n'attend plus à force d'attendre
bienheureux les décédés du covid 19
désolée.

Covid-19 le message de Jean Leonetti

ACTUALITÉS
 Vendredi 27 mars 2020 à 14h47

Le maire d'Antibes Juan-les-Pins lance un appel au civisme.

"Nous attendons avec inquiétude le pic épidémique ou la « vague virale »qui va submerger les moyens médicaux insuffisants de notre pays.
L’exemple de l’Italie de l’est de la France ou de l’île de France nous y prépare.
La légitime préoccupation du moment est donc de savoir s’il y aura suffisamment de lits de réanimation ou de « respirateurs »pour accueillir ce flux supplémentaire de malades sans avoir à choisir parmi eux ceux qui doivent bénéficier d’un traitement salvateur et éviter un « tri humain »inacceptable sur le plan éthique.
L’hypothèse heureuse que la vague ne soit pas partout majeure et qu’elle puisse être contrôlée n’est presque plus évoquée. Le pays attend impuissant et désarmé la fatalité inéluctable de la force du mal.
Et pourtant nous savons que la multiplication des dépistages les mesures de protection comme les masques associés à un confinement rigoureux sont des armes efficaces contre la maladie. Il vaut toujours mieux prévenir que guérir.
Nous devons donc aborder ce fléau avec lucidité et courage mais aussi avec détermination et confiance. Et si le pire n’était pas certain ? Sa survenue dépend en partie de la volonté des hommes et du civisme de chacun."

confinement, déconfinement, reconfinement éventuel à venir, une histoire de fous !
comme la fin de vie, la sédation avec réveil, la sédation sans réveil
comme la loi de 2005, la loi de 2008, la loi de 2010, la loi de 2016
dépression psychologique ou dépression économique, qui choisit ? qui subit ?
bienheureux les décédés, on leur fout la paix !

"« C'est un grand jour pour notre ville et pour la France », s'est réjoui le député-maire Jean Leonetti qui a évoqué cinq médailles des Justes à Antibes, dont celle de l'ancien maire Pierre Merli. Jean Leonetti n'a pû s'empêcher de parler de son propre père, dont il a découvert un jour les faux papiers, puis un portrait portant l'inscription « A Paul Romain, toute ma reconnaissance ». Pour avoir fait bénéficier également des amis juifs de fausses pièces d'identité...".

si j'avais été à la place de Jean Léonetti, j'aurais fait : 1) une loi pour les malades 2) une loi pour les personnes âgées 3) une loi pour les personnes handicapées
Trois en un.
Liberté, Fraternité, Egalité
au nom du Père, du Fils et du St-Esprit
1, 2, 3, soleil !
je suis bien à ma place finalement ...

Un homme âgé de 86 ans a tué sa conjointe de 84 ans dans la nuit de samedi à dimanche. Le drame s’est noué à Francueil. L’octogénaire aurait ensuite tenté de mettre fin à ses jours.


Par Caroline Ditte
Publié le 24/05/2020 à 20:02

Il était environ 8h30 ce dimanche quand les gendarmes d’Amboise ont découvert le corps sans vie d’une femme de 84 ans, à son domicile de Francueil. C’est son époux, âgé de 86 ans, qui a donné la mort à celle dont il partageait la vie depuis 1952.
Il voulait mettre fin à leurs jours
Selon les premières déclarations de l’homme, la victime, gravement malade, avait récemment regagné son domicile suite à une longue hospitalisation. "Elle était lourdement affaiblie et dépendante. Le mari ne supportait plus cette situation, il a voulu mettre fin à leurs jours à tous les deux", précise le procureur de la République de Tours, Grégoire Dulin. C’est donc vers la piste du drame de la fin de vie que l’enquête semble s’orienter.
Frappée à coups de crosse de fusil
Pour en finir, l’octogénaire aurait dans un premier temps tenté d’ouvrir des bouteilles de gaz. N’y parvenant pas, il se serait saisi d’une carabine qui s’est avérée hors d’usage, avant de mettre la main sur un fusil de chasse. C’est avec celui-ci qu’il aurait asséné des coups de crosse à son épouse. Sur place, les gendarmes ont également trouvé une corde, confortant la thèse de la tentative de suicide.
Un couple très discret
Inconnu des services de police, l’homme a été placé en garde à vue, sous le contrôle de la brigade de recherche d’Amboise. Une garde à vue qui pourrait durer 48 heures et à l’issue de laquelle l’octogénaire sera présenté au Parquet. Une enquête de voisinage est actuellement en cours pour tenter d’en apprendre davantage sur ce couple sans enfants, qui menait une vie apparemment très discrète à Francueil. Une autopsie du corps de la victime est prévue lundi.

Hélène Wuillemin : une grève de la faim pour la fin de vie

Voici un drame de la vieillesse comme on risque d’en rencontrer de plus en plus souvent… En effet, la centenaire Hélène Wuillemin qui vit dans le village de Laxou en Meurthe-et-Moselle vient d’entamer une grève de la faim car elle souhaite mourir mais que personne accepte de l’euthanasier.
Hélène Wuillemin : une grève de la faim pour la fin de vie
De nos jours, certains centenaires sont encore très en forme et profitent de la vie. Ils se marient, ils courent le cent mètres, ils font de la plongée, du cyclisme, se forment sur Internet et d’autres par exemple, comme le canadien Charles Wymann Betts, font de la moto !

Oui mais voilà, si certains le vivent bien, pour d’autres, être centenaire est un enfer. C’est une vie qui n’en finit pas… C’est le cas d’Hélène Wuillemin, cent ans, qui vit à Laxou en Meurthe-et-Moselle. Elle n’est pas vraiment malade, mais elle souffre… Des douleurs, des problèmes d’audition, la vue qui baisse…

Lire aussi : Fin de vie, Vincent Lambert et tous les autres, tribune libre de Valérie Sugg

Rien de mortel mais un ensemble de soucis de santé qui ruine son quotidien et son envie de vivre. Certes, elle regarde la télé, elle surfe sur Internet, elle voit de temps à autre sa famille, mais ne sort plus depuis des mois à cause de ses douleurs.  

La centenaire, née le 6 mars 1920, n’a pas pu avoir accès aux différents programmes d’euthanasie disponibles en Suisse ou en Belgique. Lundi dernier, cette ancienne institutrice a donc décidé d’entamer une grève de la faim.

Pour elle, parce qu’elle veut mourir, mais aussi pour d’autres qui pourraient être dans la même situation qu’elle et qui n’ont pas de solution non plus…

Sur sa porte d’entrée, elle a accroché un petit mot daté et signé (elle a encore toute sa tête) indiquant clairement : «  Je ne veux pas être réanimée et je ne veux pas de soins ». Son seul désir : s’endormir. Pour toujours, assise sur son fauteuil inclinable.

Décès de Christian Bidault : “Tu mourras dans la douleur…”
vendredi, 29 mai 2020

[Billet]

Tu mourras dans la douleur…
En plus de son combat contre le cancer, un combat qu’il a mené avec courage, ténacité, détermination, Christian en a mené un second, pour une mort digne. Et comme le premier il l’a perdu.

Si le confinement n’avait pas fermé les frontières, il serait parti un mois plus tôt mourir en Suisse, une mort tarifée mais choisie. Pour mourir debout – avant que la déchéance ne s’impose, avant que le corps ne lâche, que l’esprit ne vacille et que la souffrance ne l’emporte.

Affaibli mais combatif, il n’a malgré tout pas lâché la partie. Trois semaines avant son décès, il a demandé à pouvoir bénéficier d’une sédation profonde. Mais il ne cochait pas les cases au regard de l’interprétation de la loi Leonetti Claeys.
Nous avons rapidement compris combien ce texte est hypocrite, inutile, inapplicable, tordu. Malgré son libellé, cette loi votée en 2016 ne donne aucun droit au patient, sinon, peut-être, celui d’être débranché lorsqu’on s’appelle Vincent Lambert.
Lorsque la mort s’est approchée, dans les derniers jours, là où tout bascule, là encore, la demande a été réitérée, et là encore, il n’a pu obtenir ce qu’il souhaitait auprès de la structure d’hospitalisation à domicile qui l’avait pris en charge.
La réponse a été celle d’un endormissement progressif, lent, douloureux, inefficace, avec un protocole bien balisé qu’il ne faut surtout pas dépasser car « on aurait risqué de tuer le patient ».
A l’heure où l’on plongeait à tour de bras les patients victimes du Covid-19 dans le coma artificiel en l’espace de quelques secondes, le répit d’un sommeil salvateur était refusé à un patient en phase terminale. Oui, c’est cela la réalité de la mort en 2020. Douloureuse. Et inhumaine.

Christine Berkovicius

Jean Léonetti manque de psychologie basique, il est incapable de se demander ce qu'on peut faire pour oublier sa loi et les répétitions de sa loi.
Quant à son collègue A.C. n'en parlons pas ! Quel duo indigne et ignoble...
( s'exiler à l'étranger pour un aller sans retour exige non seulement du fric mais aussi de l'énergie physique ).
Si on peut essayer et re-essayer le jeûne absolu et total ( bouffe + flotte ), et/ou le suicide biologique ( avec les interactions médicamenteuses déconseillées par ex ), on peut fuir dans quelques drogues et s'abîmer ainsi la santé...
Evidemment, sauter par la fenêtre serait plus radicale si on ne se rate pas.
Quant aux associations, on est en droit de se poser des questions sur leur existence...
Jean Léonetti est un névrosé qui produit des névroses différentes chez les autres. Il n'en a rien à foutre, étant obsédé par son nombrilisme politique.