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 Jean Léonetti, fin de vie

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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime12.04.22 17:18

????? ????? ????? ????? ?????
lu en diagonale retour éventuel au septennat ???
??? ??? ???
jean leonetti dix-sept ans de dictature à propos de la fin de vie
alain claeys de 2016 à 2021 nombre d'années insuffisant ?
ils virent leonetti pour garder claeys ?
manipulateurs et manipulés
j'ai vraiment envie de dégueuler
et on veut que je crève à leur façon ?
mon cul ! oui, mon cul ...
claeys 17 ans de fin de vie  ?! ?! ?!
faîtes le calcul vous-même
c'est du délire
c'est préférable de mourir par ses propres moyens
histoire de dignité et de noblesse !
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime12.04.22 18:14

par rapport au deuil, on ne peut pas demander aux gens d'avoir la même réaction.
Par rapport à la fin de vie, c'est pareil. Si on veut mourir endormi, non alimenté et non hydraté, pourquoi pas ? ce choix est à respecter.
Mais que cela n'empêche pas les autres de mourir selon leur volonté et leur opinion.
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime14.04.22 7:18

« Le glissement de la sédation profonde vers l’euthanasie est en marche, inéluctable »
tribune
Jean-Marie Le Méné
Fondation Jérome-Lejeune
Alors que l’euthanasie fera l’objet d’une « grande loi sociétale » de l’éventuel second mandat d’Emmanuel Macron, Jean-Marie Le Méné, hostile à la philosophie de la loi Claeys-Leonetti, détaille pourquoi, selon lui, « l’arrêt des soins » permis par cette loi forme un continuum inexorable avec l’euthanasie, et rend son autorisation inéluctable.

Jean-Marie Le Méné, le 13/04/2022 à 14:33
Lecture en 4 min.
« Le glissement de la sédation profonde vers l’euthanasie est en marche, inéluctable »
Pour Jean-Marie Le Méné, la loi Claeys-Leonetti créé un continuum avec l’euthanasie (photo d’illustration).
DAVID PEREIRAS/ADOBE

La question de légaliser l’euthanasie ayant été posée aux différents candidats à l’élection présidentielle, une partie d’entre eux s’y est montrée favorable au cours de la campagne. Dès le lendemain du résultat, les choses se sont déjà précisées pour le vainqueur du premier tour, dont l’entourage a annoncé triomphalement que l’euthanasie serait la grande loi sociétale du quinquennat.

→ RELIRE. Fin de vie : ce qu’en disent les candidats à la présidentielle de 2022

Car il en faut bien une. Mais à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Nul besoin d’être grand clerc pour prédire que cette réforme ne sera pas la plus difficile à conduire. Les esprits ont été, de longue date, préparés à cette évolution, puisqu’il est convenu désormais que « l’on meurt mal en France ». Un slogan, à la signification obscure, qui suggère qu’il faudrait mourir mieux. Pour finir par mourir quand même.

À lire aussi« Peu de malades en fin de vie demandent l’euthanasie »
Comment ? Étant entendu que le sujet s’avère délicat, une convention citoyenne fournira l’espace apaisé d’un échange, loin des idéologies, des raccourcis et des jugements hâtifs, et permettra de construire un consensus assuré. Ces préliminaires habituels sont les outils des débats démocratiques dirigés dont nous avons le secret, mais dont les conclusions sont généralement acquises. En l’espèce, le succès de la loi annoncée repose sur une raison incontournable, mais rarement évoquée : le continuum entre l’arrêt des soins et l’euthanasie.

Le « progrès » de la loi Leonetti
Pour bien comprendre, revenons quelques années en arrière. En France, les lois Leonetti et Claeys-Leonetti de 2005 et 2016, relatives aux droits des malades et des personnes en fin de vie, ont créé un contexte juridique nouveau. Présentée comme « un progrès » pour les malades et les professions de santé, la loi Leonetti a explicitement autorisé l’arrêt des traitements qui n’ont pour seul effet que le maintien artificiel de la vie du patient. Largement sujette à interprétation, cette disposition a permis au Conseil d’État de juger légale la décision médicale de provoquer la mort par arrêt de l’hydratation et de l’alimentation artificielles d’un homme placé dans l’impossibilité d’exprimer ses volontés, et qui n’était pas en fin de vie.

À lire aussiFin de vie, euthanasie : les chrétiens doivent-ils se taire ?
Au regard des souffrances provoquées par l’arrêt de la nutrition et l’hydratation, la loi Claeys-Leonetti a associé systématiquement le protocole à une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Une pratique qui vise à accélérer, voire à provoquer la survenance de la mort du patient. Devant cette situation, les partisans de l’euthanasie ont beau jeu de dénoncer l’hypocrisie d’un système qui conduit à faire mourir une personne consentante dans un délai qui peut aller jusqu’à trois semaines, alors que quelques heures suffisent. Quel est l’intérêt d’un protocole de prolongation d’agonie qui passe manifestement pour inhumain ?

De la sédation au suicide assisté
Ce type de législation concernant l’arrêt des soins s’est répandu en Europe, notamment en Italie, où elle a donné lieu à un contentieux exemplaire, et a débouché sur une évolution législative intéressante. Au nom de quoi refuser le suicide assisté à une personne éligible à un arrêt des soins ? La Cour constitutionnelle italienne a, en effet, exclu la pénalisation de celui qui «facilite l’exécution d’une intention de se suicider formée de manière autonome et libre » dans le respect des conditions légales s’appliquant aux personnes qui pouvaient déjà choisir de mourir en renonçant à tout traitement. La Cour a ainsi établi un continuum entre l’action du médecin requise pour anticiper une fin de vie et son action pour précipiter la mort.

→ RELIRE. En Italie, le Vatican s’alarme du retour du débat autour de l’euthanasie

Pourquoi le suicide assisté continuerait-il à être pénalisé alors que l’arrêt des traitements (dont l’hydratation, l’alimentation et la respiration artificielles) suivi d’une sédation profonde et continue jusqu’à la mort ne l’est pas ? Ne s’agit-il pas de deux actes médicaux au profit des mêmes patients « autodéterminés » et dont les effets sont identiques ? C’est ainsi que la disposition contestée du code pénal italien réprimant le suicide assisté a été jugée contraire à la Constitution. Le Parlement italien a donc été conduit à envisager une proposition de loi relative au suicide assisté qui reprend les conditions permettant l’arrêt des soins aux patients présentant une pathologie irréversible, une souffrance intolérable, bénéficiant d’un traitement de maintien en vie et capables de prendre une décision libre. On le voit, le glissement d’un arrêt des soins avec sédation – type loi Claeys-Leonetti – vers l’euthanasie dite « active » est en marche parce que le continuum est inéluctable.

Les pires arguments
Malheureusement, ceux qui refusent, en France, la légalisation de l’euthanasie utilisent, souvent avec la plus grande sincérité, les pires arguments. La plupart d’entre eux proposent en effet un développement des soins palliatifs accompagné d’une meilleure application de la loi Claeys-Leonetti. On ne saurait rendre meilleur service aux promoteurs de l’euthanasie qui savent qu’il n’y a pas de différence de nature, mais seulement un décalage de temporalité, entre arrêt des soins (incluant nutrition, hydratation et respiration artificielles) sur personne consentante et suicide médicalement assisté. En effet, la mort reste l’objectif à atteindre.

À lire aussi« L’euthanasie est une loi marchande »
Par ailleurs, dans l’opinion publique, les soins palliatifs comprennent une fin de vie hâtée par la médecine, ce qui ne devrait naturellement pas être le but des soins. La seule manière efficace de combattre la légalisation de l’euthanasie est effectivement le développement des soins palliatifs, mais en excluant clairement de son contenu tout arrêt des soins, et ceci afin de rompre un continuum inexorable, comme le montre l’exemple italien. Anticiper la fin de vie par l’arrêt des soins ou précipiter la mort par l’euthanasie ne sont pas des actes médicaux. Les disciples d’Hippocrate le savent. Les politiques n’ont pas à leur imposer la mise en œuvre de lois sociétales qui n’ont rien à voir avec l’exercice de leur art.

À découvrir « Peu de malades en fin de vie demandent l’euthanasie »
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime14.04.22 20:33

Jean Leonetti
@JeanLeonetti
Notre candidate et notre mouvement viennent de connaitre une lourde défaite électorale. Le choix organisé entre le pouvoir en place et l’extrême droite est malheureusement la seule alternative proposée aux Français.
10:32 PM · 10 avr. 2022


Tout comme la loi Léonetti sur la fin de vie est la seule alternative imposée aux Français pour terminer leurs jours en France...
Prenons soin de NE PAS voter !
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime19.04.22 12:57

je me demande si Jean Léonetti n'est pas un assassin, s'obstiner ainsi pendant dix-sept ans
j'ai des doutes
obstination due à un trouble psychique ?
on fait ce qu'on veut avec les toubibs et leurs ordonnances
il devrait en être autant avec la fin de vie
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime19.04.22 13:07

certes on est ambivalent au cours de la vie, on doit l'être alors en fin de vie ?

quant à l'ambivalence de Jean Léonetti !!! c'est absurde et grotesque !!!

cet individu a-t-il été suivi par des psy ?
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime19.04.22 15:46

"Il vaut mieux vivre et/ou mourir seul plutôt que mal accompagné"

çà, c'est certain, JL, vous en êtes la preuve...
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime21.04.22 9:36

le Doliprane en rupture de stock ??? ??? ???
et on a le culot de parler d'accompagnement ??? ??? ???
??? ??? ??? ??? ???
????? ????? ?????
?????????
?????
???

Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Z
à moins qu'on ait tous et toutes la même idée, se suicider avec le doliprane ?
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime21.04.22 15:18

JEAN LEONETTI TUE
en France depuis dix-sept ans
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime21.04.22 17:06

Alain Claeys est un pauvre type, mou, mou, mou
si juridiquement c'était possible, rendre la loi de février 2016 invalide ?
??? ??? ???
cette loi de février 2016 n'est-elle pas LE problème ? ( pour une aide active à mourir )
je n'en sais rien, ce n'est qu'une impression..
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime21.04.22 19:47

MAGNIFIQUE, les lois de Jean Léonetti !
[center][size=55]Dave, sa nouvelle vie cauchemardesque après l'hémorragie cérébrale : les violentes séquelles qui lui gâchent l'existence révélées ...
21 AVRIL 2022 À 08H49
[/size]



[size=31]Sur le plateau de "C à vous", ce mercredi 20 avril, le chanteur Dave a évoqué les séquelles qu'il garde de son récent accident qui l'avait plongé dans le coma.[/size]



Dave était sur le plateau de C à vous, mercredi 20 avril 2022. L'occasion de rassurer son public qui a vécu les montagnes russes ces dernières semaines. 

En effet, en janvier dernier, le chanteur était victime d'un terrible accident domestique qui l'avait plongé dans le coma. 
À LIRE AUSSI





Si, depuis, Dave a réussi à se remettre sur pieds, il souffre toutefois toujours de violentes séquelles, qui lui gâchent l'existence. 
"Quand on vit ce que j'ai vécu, on n'a pas le droit de conduire pendant au moins six mois après l'accident mais ce qui est plus grave c'est le problème d'équilibre. Quand je me lève, j'ai l'impression de tomber", a-t-il notamment avoué face à Anne-Elisabeth Lemoine. Et de poursuivre : "Je n'ai plus le goût ni l'odorat. Tout le monde pense que j'ai la Covid, mais non. C'est juste les effets de l'hémorragie cérébrale."
Et lorsqu'il lui a été demandé ce qu'en disent les spécialistes, Dave, aujourd'hui âgé de 77 ans, s'est montré clair et son entourage médical aussi : "J'ai vu le neurologue, mais on m'a dit que ça pouvait se terminer dans trois jours, dans trois mois ou jamais."
À voir également : Dave asphyxié à son domicile après une fuite de gaz et transporté à l'hôpital 
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime25.04.22 16:17

JL et son arme chimique ? je sais, j'exagère !!!

c'est leur droit, si des citoyens français ne veulent pas mourir en quelques jours et quelques nuits avec un surdosage de morphine ( pas de selles ni d'urines, mais la gueule qui pue très fort ! )

au fait, SUR LE WEB, il paraît qu'à l'hôpital c'est difficile de se procurer morphine et curare à cause de la loi claeys-leonetti de fev 2016

je ne sais pas comment ils font alors, les toubibs avec leurs patients mourant

et sur le web les vétérinaires peuvent se suicider avec le Nembutal pour les animaux...

17ans de loi Léonetti et on s'acharne !
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime25.04.22 17:18

pour le Doliprane en rupture de stock il s'agit des gélules 1000mg
il faut faire comme moi, régulièrement acheter paracétamol dosage le plus faible + ibuprofène dosage le plus faible, histoire de ne pas se faire remarquer à la pharmacie et pour avoir une réserve chez soi en cas de douleur, ranger les boîtes par date de péremption. ( évidemment ce n'est pas remboursé puisque c'est sans ordonnance, de mon côté je ne vais pas emmerder le toubib pour du paracétamol et de l'ibuprofène, je l'emmerde assez comme çà avec les medocs qui ne peuvent pas être en vente libre ). On peut associer paracétamol et ibuprofène ( NE PAS mélanger ibuprofène + aspirine DANGER ( de mort je ne sais pas, je n'ai pas essayé ! ). Le paracétamol est un anti-douleur, l'ibuprofène est un anti-inflammatoire.
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime25.04.22 20:13

« Tout homme a droit à vivre sa propre mort. Ce droit doit être reconnu, mais non imposé et encore moins monopolisé. On n’a pas le droit d’interdire à autrui de choisir…lui-même, sa propre mort et il n’y a personne, ni institution, qui aurait légitime vocation à s’approprier la mort d’autrui. »Extrait du rapport de Mme Simone Veil, ministre de la Santé Publique, avril 1973.
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime25.04.22 20:17

la mort, de quelle mort parle-t-on ?
mort biologique ?
mort psychologique ?
mort sociologique ?
mort économique ?
mort politique ?
mort spirituelle ?
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime25.04.22 20:54

"Et bien oui, ouf, heureusement ! Ça prouve juste que la loi Leonetti de 2005 sur les directives anticipées avait minoré la loi Kouchner de 2002. La loi Kouchner donnait aux patients le pouvoir de faire respecter leurs volontés auprès du corps médical à partir du moment où ça avait été écrit, renouvelé tous les trois ans, et qu’il y avait une personne de confiance pour les porter au cas où la personne ne soit plus capable de s’exprimer. En 2005, Leonetti a repris ça et dit “c’est très bien mais il faut que les médecins soient d’accord”. Il a réintroduit le pouvoir médical, en diminuant la portée des directives anticipées face à la profession. Maintenant, il dit “je suis un brave garçon, je vais redonner du pouvoir aux gens”… Et il revient à la loi de 2002, tout simplement."

Bernard Senet


DIX-SEPT ANS de loi Léonetti pour rien
Mais il est où, Bernard Kouchner ? Il aurait pu faire quelque chose, non ? Il est où, Lionel Jospin ? Il aurait pu faire quelque chose, non ?
Depuis 2002 ... ( à part le "syndrome JF Mattéi", Ministre de la Santé.. + affaire Vincent Humbert )
Jean Léonetti est un cas ou il n'est pas un cas ? coupable ou irresponsable?
Pour A.C. ( qui n'est pas contre le S.A. ), il s'agit de défendre la dignité du patient en respectant à la fois la solidarité et l'autonomie..Blablabla...A.C. prendrait alors la place de J.L. pendant des années ? On n'est quand même pas otages de JL pour devenir otages d'A.C. ? c'est nous prendre pour de vrais cons !
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S.T.O.P.don.STOP vote.S.T.O.P.
dignement avec noblesse...
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime05.05.22 10:04

Angers : la justice relaxe un vétérinaire qui avait fourni une ordonnance de produits euthanasiants à son ami atteint de la maladie de Charcot
La présidente du tribunal correctionnel a évoqué "l'état de nécessité" pour justifier sa décision. Selon l'avocat de la défense, il s'agit d'"une première". 
Article rédigé par
Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 61b8b989aae5a_catherine-fournier

[size=17]Catherine Fournier

France Télévisions
[/size]

[size=14]Publié le 04/05/2022 12:46
 Temps de lecture : 2 min.[/size]
Le tribunal d'Angers (Maine-et-Loire), le 13 octobre 2015.  (MAXPPP)[/size][/size]
Cette décision judiciaire pourrait faire date dans le débat sur l'euthanasie en France. Le tribunal correctionnel d'Angers (Maine-et-Loire) a relaxé, lundi 2 mai, un vétérinaire poursuivi pour avoir fourni une fausse ordonnance de produits euthanasiants à un ami atteint de la maladie de Charcot, qui a mis fin à ses jours au printemps 2019, rapporte Le Courrier de l'Ouest.
En prononçant la relaxe, la présidente a invoqué "l'état de nécessité" plaidé par l'avocat de la défense, Antoine Barret. Selon ce dernier, cette décision est "une première""Il se pourrait que d'autres tribunaux soient saisis de cette question et, s'ils vont dans le même sens, cela pourrait faire jurisprudence", explique-t-il à franceinfo.
Le parquet peut encore faire appel. Il avait requis quatre mois de prison avec sursis à l'audience et avait demandé, au début de l'instruction, que le vétérinaire soit poursuivi pour "assassinat et tentative d'assassinat". Ce dernier avait bénéficié d'un non-lieu de ces chefs d'accusation avant d'être finalement mis en examen pour "faux en écriture et usage", pour avoir fourni cette fausse ordonnance.

"Il a agi par compassion et empathie"


A l'audience, il a expliqué avoir "d'abord refusé" d'accéder à la demande de son ami, âgé de 59 ans et atteint par cette maladie neurodégénérative. Face à sa détresse, il a fini par céder. "Il ne mène aucun combat sur l'euthanasie, mais il a agi par compassion et empathie en voyant l'état de santé de cet ami se dégrader", souligne son avocat, précisant que l'ex-femme et l'entourage du malade "étaient tout à fait d'accord avec ce qui s'est fait".
L'article 127-2 du Code pénal prévoit l'irresponsabilité pénale pour "la personne qui, face à un danger actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un acte nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace".

Une décision qui s'inscrit dans "une époque"


"Le tribunal a considéré que la sauvegarde de la personne humaine était une notion qui pouvait s'entendre de manière élargie et qu'il fallait intégrer les notions de conscience, de volonté, d'affect et de souffrance", analyse Antoine Barret. Selon le pénaliste, cette décision judiciaire s'inscrit dans "une époque et un climat qui s'y prêtent".
Le sujet de la fin de vie a été l'un des principaux sujets sociétaux de l'élection présidentielle, tant pour ses partisans que ses détracteurs. Avant sa réélection, Emmanuel Macron avait estimé qu'une "convention citoyenne", telle que celle mise en place sur le climat, serait adaptée pour trancher ce débat pendant son second mandat.
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime05.05.22 19:08

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JE NE VEUX PAS DE CELA ICI car j'estime que JE suis chez MOI ici, JE, MOI, chez moi
si on propose ou si on impose..
QUI propose, QUI impose ?
je me suis cassée le cul pendant dix ans ici
les sujets similaires n'existaient pas il y a une semaine..
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime09.05.22 21:31

J.L. et V.P. c'est pareil
blablabla ?
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime10.05.22 19:16

Chronique «Aux petits soins»
La loi Claeys-Leonetti, malade de la maladie de Charcot
La dernière affaire judiciaire, où un vétérinaire a aidé à mourir son ami atteint de la maladie de Charcot, pointe les limites de la législation française, qui ne veut pas toujours donner le dernier mot au malade.

Dans le service des soins palliatifs de l'hôpital d'Argenteuil (Val-d'Oise). (Fred Dufour/AFP)
par Eric Favereau
publié le 10 mai 2022 à 7h00

C’est une maladie terrible. La maladie de Charcot (ou SLA, sclérose latérale amyotrophique) est une pathologie neurologique dégénérative qui atteint tous les muscles, sans autre perspective que la mort par asphyxie si l’on ne fait rien. Souvent, nous le racontons, et des études le montrent, la loi française sur la fin de vie, dite Claeys-Leonetti, est sans voix. C’est l’impasse, et même parfois du grand n’importe quoi dans la prise en charge finale. Soit c’est l’arbitraire qui va prévaloir (selon le médecin qui le prend en charge) soit le malade a la chance d’avoir des réseaux pour l’aider à abréger sa fin de vie.

«Qu’est-ce qu’il aurait fallu faire ?»
Ces dernières semaines, de nombreux cas ont encore pointé les limites législatives actuelles. Le dernier en date est un vétérinaire qui a aidé son ami atteint de cette maladie à lui procurer des médicaments pour mettre un terme à sa vie. Poursuivi devant la justice «pour faux et usage de faux», ledit vétérinaire a bénéficié d’une relaxe le 4 mai. Mais, en fin de semaine dernière, le parquet d’Angers a interjeté appel de sa relaxe. A l’audience, le vétérinaire a expliqué avoir «d’abord refusé» de répondre à la demande de son ami avant de céder «face à sa détresse». Présente à l’audience, l’ancienne femme du malade ne s’était pas constituée partie civile, affirmant que celui-ci avait toujours dit qu’«il mettrait fin à ses jours avant que la maladie ne l’emprisonne dans son corps». L’homme avait ainsi tenté par trois fois de se suicider, notamment par noyade. Signe de sa volonté farouche, figurait, aux côtés de son testament, une feuille avec ces mots : «Surtout me laisser partir cette fois !» L’avocat du prévenu avait lâché à l’audience : «Qu’est-ce qu’il aurait fallu faire ? Le laisser à nouveau exposé à des souffrances ?»


Terrible situation où tout se termine mal. Valérie Mesnage, neurologue et chargée de recherches au Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV), connaît parfaitement ces questions. Elle a coordonné un groupe de travail sur la fin de vie et la SLA, dont les conclusions ont été rendues publiques en novembre. Que constate-t-on ? La loi actuelle, dite Claeys-Leonetti, est apparemment claire : elle propose la possibilité d’une sédation profonde et continue jusqu’au décès (SPCJD). Si une personne est atteinte d’une maladie incurable, supportant des souffrances que l’on n’arrive pas à soulager, elle peut demander cette sédation. Mais alors pourquoi, dans l’exemple d’Angers, le malade a-t-il eu besoin d’avoir recours à son ami vétérinaire pour avoir accès à des médicaments mortels ? «Dans le cas de la SLA, la gravité et l’incurabilité de la maladie sont une évidence, note le rapport du CNSPFV. L’objectif de la prise en charge est bien de soulager les souffrances du patient mais elle n’est pas d’accélérer intentionnellement la survenue du décès. Cependant, lorsque le patient présente des souffrances réfractaires ou demande une limitation ou un arrêt des traitements de suppléances vitales, cette demande de la part du patient (et des proches) d’accès aux soins d’accompagnement de la fin de vie intégrant la SPCJD peut s’opposer à la réticence d’équipes de soins à y répondre le moment voulu.»

«Lecture trop limitative»
L’ambiguïté est manifeste. Pour Valérie Mesnage, il y a deux types d’impasses, aujourd’hui, vis-à-vis de ces fins de vie dans la maladie de Charcot. Première interrogation : à partir de quand peut-on mettre en place une sédation ? Au dernier moment, mais quand ? Si la loi est ouverte, la Haute Autorité de santé a cru bon de publier des recommandations très limitatives, estimant que la sédation ne pouvait être entreprise que quelques jours avant le décès supposé. «Dans la pratique, note Valérie Mesnage, il existe beaucoup de situations qui pourraient être résolues si certaines équipes n’étaient pas arc-boutées sur une lecture trop limitative de la législation. Car la loi est beaucoup moins bornée qu’on ne l’entend. Pour autant, il y a une autre impasse. C’est lorsque le patient est atteint d’une souffrance existentielle.» Il ou elle ne veut alors plus vivre. La perte d’autonomie est pour lui trop forte, la dépendance trop élevée. Dans la maladie de Charcot, avant de perdre sa faculté respiratoire, le patient perd tout usage de ses muscles, cloué, immobile, sans voix. «Et là, des patients disent stop. Tout le monde le reconnaît, partisan ou non d’une fin plus active. Face à eux, face à leur demande qui renvoie à une souffrance existentielle, la loi n’apporte pas de réponse.» Dans une étude qualitative récente, effectuée sur un effectif limité de patients, il ressort clairement que leur demande est d’avoir leur mot à dire dans l’évolution de la maladie, et de pouvoir exprimer le moment où cela doit s’arrêter.

Le dernier épisode
Devant une impasse thérapeutique, ne pas laisser les patients face à une «sélection par l’argent»
Santé
3 mai 2022
C’est évidemment durant ces moments-là que les conflits surgissent avec les équipes soignantes. Et que l’arbitraire prévaut. Soit vous avez la chance d’avoir un ami vétérinaire qui peut vous aider, voire la chance de tomber sur une équipe de soins palliatifs ouverte et tolérante. Soit le patient et ses proches vont devoir supporter des équipes qui ne veulent en aucun cas hâter la mort et mettent tout sur le compte d’une dépression temporaire du patient. Et c’est l’impasse. «Le cas de la maladie de Charcot est vraiment emblématique des limites actuelles de notre loi et de son interprétation», nous disait le professeur Didier Sicard, ancien président du Comité consultatif national d’éthique. On va voir si l’avis que ce comité va rendre en juin sur la fin de vie aura le courage d’affronter la réalité des blocages actuels, avant que le Parlement décide ou non de modifier la loi.

https://www.liberation.fr/societe/sante/la-loi-claeys-leonetti-malade-de-la-maladie-de-charcot-20220510_DGD5UXLZGBDIXJKDLWLTHNUFLE/
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime19.05.22 19:53

"La France bat ainsi de tristes records de suicides de personnes âgées, pas seulement par solitude et abandon, mais aussi lorsqu’elles craignent de perdre leur autonomie."
citation article payant du Monde
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime19.05.22 20:06

[size=49]Fin de vie : « Avec l’aide active à mourir, la violence sera déplacée sur les professionnels de santé »[/size]

TRIBUNE


Elisabeth Angellier

Oncologue

Carole Bouleuc

Oncologue

Sylvie Dolbeault

Psychiatre

Deux spécialistes en soins palliatifs et une psychiatre de l’Institut Curie plaident pour que les conditions d’application du droit à la sédation profonde soient redéfinies et pour que la qualité de la fin de vie soit renforcée.

Publié aujourd’hui à 05h00   Temps deLecture 4 min.

Article réservé aux abonnés

[size=81]Les débats sur l’aide active à mourir sont brouillés par de nombreuses imprécisions de langage, sources de confusion. Ce problème est fréquent lorsque la polémique porte sur des sujets touchant au plus intime de nous-même, comme celui de notre mort : les arguments déployés relèvent autant d’une analyse réflexive objective que de convictions liées à nos expériences personnelles, nos représentations et nos craintes.[/size]

Dans Le Monde daté du 13 mai, Martine Lombard publie une tribune intitulée « Pour la reconnaissance de la liberté de mourir ». Ce titre sous-entend que cette liberté individuelle n’existe pas : or, en France, depuis la Révolution, le suicide n’est plus réprimé, rendant effective la liberté de mourir. Un titre tel que « Pour la reconnaissance de la liberté d’être aidé à mourir en fin de vie » serait plus proche du véritable sujet de l’article. L’Association pour le droit à mourir dans la dignité nous a habitués à ce procédé : le nom de leur association laisse supposer que seul le suicide aidé ou l’euthanasie permet d’obtenir une mort digne. Ce qui est bien injuste pour la majorité de nos concitoyens qui prennent une voie, tout aussi digne par le courage qu’elle nécessite, celle de partir soutenus par leurs soignants et leurs proches.
Lire aussi l’éditorial du « Monde » (2019) : Fin de vie : préserver la loi Claeys-Leonetti
L’argument essentiel pour créer un nouveau droit concernant l’aide active à mourir est que les personnes en fin de vie n’ont plus les capacités physiques d’assurer leur suicide. La violence du suicide est double. Il y a d’abord celle, morale, de décider de se supprimer, qui vient soulager une autre violence, celle de subir une souffrance réfractaire et insupportable en fin de vie. Tous les experts, pour ou contre le suicide assisté, sont d’accord pour apporter un soulagement aux patients souffrant en fin de vie. C’est ce que la loi Claeys-Leonetti de 2016 a souhaité rendre possible, en créant le droit de recevoir une sédation profonde et continue jusqu’au décès.

Répercussions psychologiques


Associée à l’arrêt de tous les autres traitements, excepté les antalgiques, et à l’arrêt de l’hydratation et de l’alimentation, elle provoque le décès du patient en quelques jours. Pour que cela soit possible, le patient doit être atteint d’une maladie incurable avec une souffrance réfractaire et un pronostic vital engagé à court terme. Or, les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS) définissent un pronostic engagé à court terme par une espérance de vie de quelques heures ou quelques jours, réduisant considérablement la portée de ce nouveau droit. Une redéfinition des conditions d’application du droit à la sédation profonde et continue jusqu’au décès pourrait permettre d’éviter de créer une nouvelle loi.

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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime30.05.22 16:49

“Je ne t’abandonnerai pas. Je ne te laisserai pas souffrir. Je ne te prolongerai pas de manière anormale“

POURQUOI "TU" ET POURQUOI PAS "VOUS" ??? ??? ???


"je" et/ou le jeu
"tu" et/ou l'acte ou l'envie de tuer
??? ??? ???
Liberté, Fraternité, Egalité ... ... ...
??? ??? ???
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime31.05.22 19:46

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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime01.06.22 1:10

JL reçevez ma haine la plus immense et la plus profonde
difficultés motrices exceptionnelles ( ? ) pour avaler mes medocs pour la nuit
ce n'est pas le moment d'aller à l'hosto
d'ailleurs pourquoi ? à quoi çà sert ? à rien...
on commet des viols de guerre en Ukraine
vous volez la mort des citoyens depuis quinze ans
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime02.06.22 14:25

J.L. sourd et aveugle, malheureusement pas muet
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime02.06.22 15:00

Jean Leonetti sur l'euthanasie : "Dans une démocratie évoluée, on ne donne pas la mort"
Jean Leonetti, Christophe ARCHAMBAULT / AFP 1280
© Christophe ARCHAMBAULT / AFP
Copié
Grégoire Duhourcau 13h26, le 25 septembre 2018, modifié à 16h10, le 25 septembre 2018
Actuellement, "on laisse les gens mourir en souffrance", a estimé l'auteur de la loi sur la fin de vie sur Europe 1. Il réclame donc que la loi soit appliquée mais se montre défavorable à la légalisation de l'euthanasie.
INTERVIEW
Le CCNE (Comité consultatif national d'éthique) s'est prononcé mardi en défaveur de la légalisation de l'euthanasie, estimant que la loi sur la fin de vie (loi Claeys-Leonetti) qui interdit l'euthanasie et le suicide assisté, ne devait pas être modifiée. "On voit bien qu'il y avait un consensus" sur cette loi, a réagi l'auteur de la loi, Jean Leonetti, sur Europe 1, mardi.

"On laisse les gens mourir en souffrance". "Malheureusement, le constat, c'est aussi que l'on meurt encore mal en France", a toutefois souligné l'ancien député Les Républicains (LR). Selon lui, "les soins palliatifs ne sont pas assez développés". "On met des malades souffrants dans des situations d'indignité qui les font réclamer d’abréger leurs souffrances." A l'heure actuelle, "on laisse les gens mourir en souffrance" alors que, d'après la loi qui existe, le malade "a le droit de dormir pour ne pas souffrir" s'il le demande.

Jean Leonetti "espère" donc que cette position du CCNE "consiste à dire : 'Ne changeons pas les lois parce qu'elles ne sont pas appliquées mais appliquons les lois et faisons en sorte que cette fin de vie soit sereine et apaisée.' On a les moyens financiers, humains et pharmacologiques pour le faire."

"On n'a pas fait des lois pour les gens qui veulent mourir". Jean Leonetti estime par ailleurs que la question du suicide assisté et de l'euthanasie "est beaucoup plus complexe". "Faut-il ou non donner la mort à ceux qui la réclament ? C'est un autre sujet. Nous on a fait des lois pour les gens qui vont mourir. On n'a pas fait des lois pour les gens qui veulent mourir."

Jean Leonetti se prononce ensuite sur la question. Pour lui, "dans une démocratie évoluée, on ne donne pas la mort". "On soulage la souffrance, on accompagne. Le jour où on donnera la mort aux plus vulnérables d'entre nous, même à leur demande, il y aura une déchirure du pacte de fraternité qui existe dans notre pays", juge-t-il.
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime02.06.22 15:04

??????????????????????????
on n'a pas donné la mort à V.L.
???????????????

AYOYE EMOSH TONGUE CRAZY
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime03.06.22 17:08

En cette journée mondiale des troubles du comportement alimentaires (TCA), une enquête Qare met en lumière l’anxiété alimentaire, une zone grise dans notre rapport à l’alimentation qui concernerait de nombreuses femmes… Si ce n’est toutes ! La faute à qui ? Au patriarcat pardi !


c'est la faute à Jean-Léonetti qui à mon avis devrait être jugé de son vivant.
Par qui ? je ne sais pas.
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clin1
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime04.06.22 16:43

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Sédation : profonde, continue, palliative, protocole, durée
VIDÉO EN COURS
Le saviez-vous #07
Article mis à jour le 30/08/21 18:00
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Une personne atteinte d'une maladie incurable peut demander à bénéficier de la sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès (SPCMD). Loi en France, médicaments utilisés, protocole, effets secondaires... Le point avec Maître Muriel Bodin, avocate au Barreau de Paris, spécialisée en droit de la santé.

SOMMAIRE
Définition
Profonde et continue
Palliative
Différences avec euthanasie
Loi en France
Indications
Protocole
Temps avant le décès
Effets secondaires
Prix et remboursement
Définition : qu'est-ce qu'une sédation ?
La sédation est définie par le recours à des moyens, le plus souvent médicamenteux, pour soulager et apaiser un patient. La sédation prend en compte le confort du patient et son environnement pour l'aider à soulager ses douleurs physiques et psychologiques. Elle est souvent utilisée pour pratiquer des soins et diminuer la douleur ressentie par le patient lors notamment d'un passage en réanimation. Selon le niveau de conscience du patient, la sédation peut être profonde et continue, palliative ou légère. Au cours d'une sédation légère, la personne peut sembler dormir mais ouvre ses yeux et/ou réagit quand on lui parle et/ou qu'on le touche.

Sédation profonde et continue ?
Votée en février 2016, la loi Claeys-Leonetti offre un droit à "la sédation profonde et continue" jusqu'au décès pour les personnes en phase terminale. Cette pratique consiste à endormir profondément un patient de manière à s'assurer qu'il ne souffre plus alors que son décès est imminent et inévitable. Au cours d'une sédation profonde, la personne dort et ne réagit ni à la voix ni au toucher.

Sédation palliative ?
Au cours de la sédation palliative, l'état de conscience du malade est abaissé à l'aide de médicaments afin de soulager les douleurs. Cette sédation peut être continuée jusqu'à la perte de conscience et le décès du patient. On évoque alors le terme de sédation palliative continue ou profonde.

Différence avec une euthanasie ?
"La sédation vise à altérer la conscience profondément tandis que l'euthanasie consiste à provoquer intentionnellement la mort", explique Maître Muriel Bodin. Dans son guide du parcours de soins de janvier 2020, la HAS a relevé six caractéristiques permettant de différencier la sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès de l'euthanasie : l'intention, le moyen pour atteindre le résultat, la procédure, le résultat, la temporalité et la législation :

Sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès Euthanasie
Intention Soulager une souffrance réfractaire Répondre à la demande de mort du patient
Moyen Altérer la conscience profondément Provoquer la mort
Procédure Utilisation d'un médicament sédatif avec des doses adaptées pour obtenir une sédation profonde Utilisation d'un médicament à dose létale
Résultat
Sédation profonde poursuivie jusqu'au décès dû à l'évolution naturelle de la maladie

Mort immédiate du patient
Temporalité La mort survient dans un délai qui ne peut pas être prévu La mort est provoquée rapidement par un produit létal
Législation Autorisée par la loi
Illégale en France

Loi en France
⇒ La loi Kouchner du 4 mars 2002 relative aux droits des malades permet à toute personne atteinte d'une maladie incurable de décider elle-même de la poursuite ou de l'arrêt des traitements. "Elle a également la possibilité de désigner une personne de confiance concernant sa santé, notamment pour informer le corps médical de ses choix si elle n'est plus en capacité de le faire", précise l'avocate en droit de la santé.

⇒ La loi Léonetti du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie a souhaité proscrire une éventuelle "obstination déraisonnable" du corps médical à une "prolongation artificielle de la vie" du patient (articles 1 et 9), y compris lorsque ce dernier est hors d'état d'exprimer sa volonté.

⇒ La loi Claeys-Léonetti du février 2016 a pris le relais de la loi précédente en 2016, accordant de nouveaux droits aux personnes malades en fin de vie. L'arrêt des traitements peut s'accompagner d'une sédation profonde et continue jusqu'au décès, ce que Jean Leonetti a appelé "le droit de dormir avant de mourir pour ne pas souffrir" (article L. 1110-5-2).


Fin de vie : loi, démarches, soins palliatifs à domicile ou à l'hôpital
Atteinte d'une maladie grave et incurable, en phase avancée ou terminale, et sans espoir de guérison, une personne est dite "en fin de vie". Elle peut bénéficier de soins palliatifs, à domicile, à l'hôpital ou en EHPAD. Lois en France, démarches et médicaments utilisés.

Indications : quand la demander ?
Selon la loi du 2 février 2016 , la sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès (SPCMD) ne peut être administrée qu'à la demande du patient dans les deux cas suivants :

→ son pronostic vital est engagé et les traitements qui lui sont administrés ne permettent pas d'alléger sa souffrance ;

→ il décide volontairement d'arrêter un traitement, ce qui l'expose à des souffrances insupportables.

Autre cas de figure, le patient est inconscient et ne peut pas exprimer sa volonté. Le médecin peut mettre en place la SPCMD au titre du refus de l'acharnement thérapeutique, sauf si le patient s'y était opposé dans ses directives anticipées. "Il est très conseillé de rédiger des directives anticipées. Un avocat peut vous aider à les rédiger et à les faire respecter le moment venu", commente Maître Muriel Bodin.

Protocole : comment se passe une sédation ?
Une sédation est obtenue grâce à des sédatifs qui sont prescrits selon un protocole bien standardisé. Elle associe toujours la prescription d'analgésiques visant à soulager toutes douleurs induites par la maladie et l'arrêt des traitements. Sont ainsi prescrits le plus souvent des sédatifs et des dérivés de la morphine. Dans sa recommandation de bonne pratique concernant la prise en charge médicamenteuse de la SPCMD publiée en janvier 2020, la HAS préconise l'administration du midazolam, puissant sédatif, en première intention. Celui-ci peut être administré par toutes les voies, l'intraveineuse étant privilégiée, de manière à augmenter progressivement la diffusion du produit.

Combien de temps dure une sédation avant le décès ?
Contrairement à l'euthanasie qui provoque la mort immédiatement, le délai de survenue du décès dans le cadre de la sédation est imprévisible.

Quels sont les effets secondaires ?
Ce n'est pas la sédation en elle-même qui provoque le décès, mais l'évolution de la maladie. La sédation profonde et continue vise simplement à soulager la souffrance du patient. Celui-ci est plongé dans un état de sommeil tel qu'il ne réagit plus aux stimulations. Les doses de médicaments utilisées ne l'exposent pas à de potentiels effets secondaires. Si elle est bien dosée, la sédation provoquée par le midazolam n'entraîne pas la mort.

Quel est le prix et le remboursement ?
"Le prix de la sédation profonde dépend du lieu où elle est pratiquée. A domicile, c'est le coût des visites domiciliaires de l'équipe médicale en charge de suivre le patient qui mourra à domicile. Cela peut durer plusieurs jours puisqu'il n'y a pas d'issue prévisible. Si c'est à l'hôpital, il faut compter le prix par jour, déduction faite de la prise en charge de la sécurité sociale", indique l'avocate spécialisée en droit de la santé.

Sources :

Sites du Ministère de la Santé et de la Haute Autorité de Santé (HAS)

Julie Giorgetta
Mis à jour le 30/08/21 18:00
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime06.06.22 21:26

JL et VP fabriquent des affamés et des assoiffés.
blablabla
on constate, que faire d'autre ?
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime07.06.22 18:54

POURQUOI LA  NON  APPLICATION DES  LOIS LEONETTI ?
beaucoup de blablabla pour rien !

« C’est une obsession, tous les jours, de trouver de la place pour les malades ! »

Sophie Crozier, neurologue à la Pitié-Salpêtrière à Paris, cofondatrice du Collectif Inter-Hôpitaux (CIH).  (JEAN-FRANÇOIS ROBERT POUR « L’OBS »)Sophie Crozier, neurologue à la Pitié-Salpêtrière à Paris, cofondatrice du Collectif Inter-Hôpitaux (CIH). (JEAN-FRANÇOIS ROBERT POUR « L’OBS »)

Sophie Crozier, neurologue à la Pitié-Salpêtrière à Paris, raconte à « l’Obs » son quotidien à l’hôpital, entre fermeture de lits, manque de temps et crainte permanente de commettre une erreur.

Par Elodie Lepage
Publié le 5 juin 2022 à 16h00

« Nous refusons des patients tout le temps, c’est terrible ! En Ile-de-France, 23 % des lits sont fermés dans les services neurovasculaires. A la Pitié-Salpêtrière [dans le 13e arrondissement de Paris, NDLR], nous avons 10 lits fermés sur 18 en soins intensifs et 10 lits sur 30 dans l’unité neurovasculaire (UNV). Or, déjà en temps normal, on ne peut pas accueillir la moitié des personnes qui font un accident vasculaire cérébral (AVC) ! Des centaines d’articles l’ont pourtant démontré : la mortalité et le handicap diminuent de 50 % chez les malades pris en charge dans une unité spécialisée comme la nôtre, plutôt que dans un service de neurologie ou de médecine.

Ces unités, au nombre de 120 sur tout le territoire, ont été créées dans le cadre du plan AVC de 2010, qui avait permis de grandes avancées dans la prise en charge des malades – une prise en charge en urgence, avec un accès direct aux services spécialisés, où exercent des soignants formés et en nombre suffisant. Plus de dix ans plus tard, on régresse, c’est dramatique : les lits ferment faute de personnel, l’accès aux soins – même en urgence – devient difficile, avec des délais trop longs. L’AVC est pourtant la première cause de handicap physique acquis chez l’adulte, la première cause de mortalité chez la femme et la troisième chez l’homme. En France, on compte plus de 140 000 nouveaux cas par an, soit un AVC toutes les quatre minutes. C’est un enjeu de santé publique majeur !
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime08.06.22 11:18

« Le glissement de la sédation profonde vers l’euthanasie est en marche, inéluctable »
tribune
Jean-Marie Le Méné
Fondation Jérome-Lejeune
Alors que l’euthanasie fera l’objet d’une « grande loi sociétale » de l’éventuel second mandat d’Emmanuel Macron, Jean-Marie Le Méné, hostile à la philosophie de la loi Claeys-Leonetti, détaille pourquoi, selon lui, « l’arrêt des soins » permis par cette loi forme un continuum inexorable avec l’euthanasie, et rend son autorisation inéluctable.

Jean-Marie Le Méné, le 13/04/2022 à 14:33

« Le glissement de la sédation profonde vers l’euthanasie est en marche, inéluctable »
Pour Jean-Marie Le Méné, la loi Claeys-Leonetti créé un continuum avec l’euthanasie (photo d’illustration).

La question de légaliser l’euthanasie ayant été posée aux différents candidats à l’élection présidentielle, une partie d’entre eux s’y est montrée favorable au cours de la campagne. Dès le lendemain du résultat, les choses se sont déjà précisées pour le vainqueur du premier tour, dont l’entourage a annoncé triomphalement que l’euthanasie serait la grande loi sociétale du quinquennat.

Car il en faut bien une. Mais à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Nul besoin d’être grand clerc pour prédire que cette réforme ne sera pas la plus difficile à conduire. Les esprits ont été, de longue date, préparés à cette évolution, puisqu’il est convenu désormais que « l’on meurt mal en France ». Un slogan, à la signification obscure, qui suggère qu’il faudrait mourir mieux. Pour finir par mourir quand même.

À lire aussi« Peu de malades en fin de vie demandent l’euthanasie »
Comment ? Étant entendu que le sujet s’avère délicat, une convention citoyenne fournira l’espace apaisé d’un échange, loin des idéologies, des raccourcis et des jugements hâtifs, et permettra de construire un consensus assuré. Ces préliminaires habituels sont les outils des débats démocratiques dirigés dont nous avons le secret, mais dont les conclusions sont généralement acquises. En l’espèce, le succès de la loi annoncée repose sur une raison incontournable, mais rarement évoquée : le continuum entre l’arrêt des soins et l’euthanasie.

Le « progrès » de la loi Leonetti
Pour bien comprendre, revenons quelques années en arrière. En France, les lois Leonetti et Claeys-Leonetti de 2005 et 2016, relatives aux droits des malades et des personnes en fin de vie, ont créé un contexte juridique nouveau. Présentée comme « un progrès » pour les malades et les professions de santé, la loi Leonetti a explicitement autorisé l’arrêt des traitements qui n’ont pour seul effet que le maintien artificiel de la vie du patient. Largement sujette à interprétation, cette disposition a permis au Conseil d’État de juger légale la décision médicale de provoquer la mort par arrêt de l’hydratation et de l’alimentation artificielles d’un homme placé dans l’impossibilité d’exprimer ses volontés, et qui n’était pas en fin de vie.

À lire aussiFin de vie, euthanasie : les chrétiens doivent-ils se taire ?
Au regard des souffrances provoquées par l’arrêt de la nutrition et l’hydratation, la loi Claeys-Leonetti a associé systématiquement le protocole à une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Une pratique qui vise à accélérer, voire à provoquer la survenance de la mort du patient. Devant cette situation, les partisans de l’euthanasie ont beau jeu de dénoncer l’hypocrisie d’un système qui conduit à faire mourir une personne consentante dans un délai qui peut aller jusqu’à trois semaines, alors que quelques heures suffisent. Quel est l’intérêt d’un protocole de prolongation d’agonie qui passe manifestement pour inhumain ?

De la sédation au suicide assisté
Ce type de législation concernant l’arrêt des soins s’est répandu en Europe, notamment en Italie, où elle a donné lieu à un contentieux exemplaire, et a débouché sur une évolution législative intéressante. Au nom de quoi refuser le suicide assisté à une personne éligible à un arrêt des soins ? La Cour constitutionnelle italienne a, en effet, exclu la pénalisation de celui qui «facilite l’exécution d’une intention de se suicider formée de manière autonome et libre » dans le respect des conditions légales s’appliquant aux personnes qui pouvaient déjà choisir de mourir en renonçant à tout traitement. La Cour a ainsi établi un continuum entre l’action du médecin requise pour anticiper une fin de vie et son action pour précipiter la mort.

→ RELIRE. En Italie, le Vatican s’alarme du retour du débat autour de l’euthanasie

Pourquoi le suicide assisté continuerait-il à être pénalisé alors que l’arrêt des traitements (dont l’hydratation, l’alimentation et la respiration artificielles) suivi d’une sédation profonde et continue jusqu’à la mort ne l’est pas ? Ne s’agit-il pas de deux actes médicaux au profit des mêmes patients « autodéterminés » et dont les effets sont identiques ? C’est ainsi que la disposition contestée du code pénal italien réprimant le suicide assisté a été jugée contraire à la Constitution. Le Parlement italien a donc été conduit à envisager une proposition de loi relative au suicide assisté qui reprend les conditions permettant l’arrêt des soins aux patients présentant une pathologie irréversible, une souffrance intolérable, bénéficiant d’un traitement de maintien en vie et capables de prendre une décision libre. On le voit, le glissement d’un arrêt des soins avec sédation – type loi Claeys-Leonetti – vers l’euthanasie dite « active » est en marche parce que le continuum est inéluctable.

Les pires arguments
Malheureusement, ceux qui refusent, en France, la légalisation de l’euthanasie utilisent, souvent avec la plus grande sincérité, les pires arguments. La plupart d’entre eux proposent en effet un développement des soins palliatifs accompagné d’une meilleure application de la loi Claeys-Leonetti. On ne saurait rendre meilleur service aux promoteurs de l’euthanasie qui savent qu’il n’y a pas de différence de nature, mais seulement un décalage de temporalité, entre arrêt des soins (incluant nutrition, hydratation et respiration artificielles) sur personne consentante et suicide médicalement assisté. En effet, la mort reste l’objectif à atteindre.

À lire aussi« L’euthanasie est une loi marchande »
Par ailleurs, dans l’opinion publique, les soins palliatifs comprennent une fin de vie hâtée par la médecine, ce qui ne devrait naturellement pas être le but des soins. La seule manière efficace de combattre la légalisation de l’euthanasie est effectivement le développement des soins palliatifs, mais en excluant clairement de son contenu tout arrêt des soins, et ceci afin de rompre un continuum inexorable, comme le montre l’exemple italien. Anticiper la fin de vie par l’arrêt des soins ou précipiter la mort par l’euthanasie ne sont pas des actes médicaux. Les disciples d’Hippocrate le savent. Les politiques n’ont pas à leur imposer la mise en œuvre de lois sociétales qui n’ont rien à voir avec l’exercice de leur art.

À découvrir « Peu de malades en fin de vie demandent l’euthanasie »
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime12.06.22 22:46

Quel gâchis, J.L. mais quel gâchis !
de 2003 à 2022
faut le faire !

CRAZY
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime18.06.22 17:36

Loire-Atlantique : deux octogénaires décédés à la plage à Pornichet
Un homme de 80 ans, qui s'était allongé sur sa serviette vendredi en milieu d'après midi, est mort, rapporte France Bleu Loire Océan. Un peu plus tôt, toujours à Pornichet, un autre octogénaire a fait un malaise dans l'eau, les secours n'ont pas pu le réanimer.
Article rédigé par

[size=17]Avec France Bleu Loire Océan - franceinfo

Radio France
[/size]

[size=14]Publié le 18/06/2022 14:32Mis à jour le 18/06/2022 15:44
 Temps de lecture : 1 min.[/size]


SUICIDE déguisé ???
Respect et Liberté
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime20.06.22 9:41

Admin a écrit:
Quel gâchis, J.L. mais quel gâchis !
de 2003 à 2022
faut le faire !

CRAZY
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime22.06.22 16:36

j'ai écrit
"Faut-il supprimer les lois Léonetti
ou faut-il assassiner Jean Léonetti ?
AYOYE

ni l'un ni l'autre si JL se suicide !
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime23.06.22 1:42

Vous croyez que J.L. parcourt ce site ?

FOOL
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime24.06.22 17:09

La secrétaire d'Etat et gynécologue Chrysoula Zacharopoulou juge "inacceptables" les accusations de viols qui la visent
Deux plaintes pour viol et une pour "violences gynécologiques" ont été déposées à son encontre. Une enquête a été ouverte fin mai.
Article rédigé par
[size=17]franceinfo avec AFP

France Télévisions
[/size]
[size=14]Publié le 24/06/2022 15:21Mis à jour le 24/06/2022 15:43
 Temps de lecture : 1 min.[/size]


Je ne suis pas si timbrée que cela quand j'écris qu'on peut profiter de la durée de la Sédation Profonde Continue Jusqu'Au Décès, plusieurs jours et plusieurs nuits, toucher rectal, toucher vaginal et autre "acte" !
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fillette langue
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime30.06.22 21:53

Jean qui rit ou Jean qui pleure ?
à propos de la politique française actuelle ...
Ce n'est pas beau, tout ceci, J.L. mais vous vous en foutez
en tant que médecin vous pouvez vous suicider "proprement"
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime02.07.22 21:31

«Mon corps, mon choix» : mobilisation en France pour défendre le droit à l'avortement
Par Le Figaro avec AFP
[size=16]Publié il y a 3 heures, mis à jour il y a 12 minutes
[/size]


Je rappelle que Marisol Touraine, Ministre de la Santé sous le quinquennat de FH avait évoqué "l'avortement de sa fin de vie"...ce qui équivaut à l'abolition de la loi Léonetti.
Admin qui ne donne plus, qui ne vote plus et qui ricane dignement avec noblesse !
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime06.07.22 21:15

[center][size=30]Fin de vie : aucune loi ne pourra tout régler
  Lecture 1 min
Accueil Rendez-Vous De La Rédaction Journal Des Lecteurs


[size=18][size=14]Par Bernard Labat, Dax (40)
[size=12]Publié le 19/01/2022 à 18h39


Le législateur ne peut être à la place du patient. La législation relative aux droits des personnes en fin de vie repose sur deux lois.[/size]

La loi Léonetti du 22 avril 2005 interdit l’acharnement thérapeutique. Les médecins sont autorisés à limiter ou arrêter le traitement afin de permettre à un patient de mourir soulagé et accompagné.

La Loi dite de Claeys-Léonetti du 2 février 2016, en plus du renforcement des droits du malade en fin de vie, autorise une sédation profonde et continue jusqu’au décès par des moyens médicamenteux. Mais jamais aucune loi ne pourra tout régler.


Il est souhaitable de renoncer à un acharnement thérapeutique en donnant cependant des soins palliatifs pour atténuer les souffrances physiques. Chacun de nous a son vécu, ses convictions, ses croyances. La priorité, c’est l’accompagnement du patient, le respect de son intimité, la confidentialité.
[/size][/size][/size]

EH BIEN IL AURAIT FALLU NE PAS FAIRE DE LOI, pauvres connards et pauvres connasses...
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime08.07.22 11:14

"Jeu du foulard": deux fillettes meurent en se filmant, leurs parents attaquent le réseau social TikTok en justice aux Etats-Unis
Les parents de deux fillettes américaines décédées après s'être auto-asphyxiées ont porté plainte contre TikTok. Ils accusent l'algorithme de la plateforme d'avoir conduit leurs enfants respectifs à participer au dangereux "jeu du foulard", un "défi" qui encourage les participants à s'asphyxier jusqu'à l'évanouissement.

AFP  Publié le 08/07/2022 à 06:55, mis à jour le 08/07/2022 à 06:45

Il aurait fallu porter plainte contre J.L. depuis longtemps car il incite au JEU du JEUNE, essayer de se priver soi-même de nourriture et de boisson par curiosité...
Masque anti-covid sur la bouche, foulard autour du cou, la tête dans un sac poubelle, pourquoi pas ??? !!!
Désolée...
Admin qui ricane avec noblesse et dignité !
chapeau
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime08.07.22 13:03

Désolée
mon corps est à moi, 
mon corps n'appartient pas à Jean Léonetti
c'est tout bête
c'est une évidence
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime10.07.22 21:34

JL abus de pouvoir dans le flou ? Cet individu a réussi à faire échouer la proposition 21 du président précédent !!!
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime10.07.22 21:48

l’hypocrisie d’un système qui conduit à faire mourir une personne consentante dans un délai qui peut aller jusqu’à trois semaines, alors que quelques heures suffisent. Quel est l’intérêt d’un protocole de prolongation d’agonie qui passe manifestement pour inhumain ?
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime11.07.22 16:46

[size=55]« C’est au malade de choisir quand il veut mourir, pas au médecin »[/size]

Ancien chef de service hospitalier en gastro-entérologie, président de l’association Le Choix/citoyens pour une mort choisie, Denis Labayle sort un livre dans lequel il en appelle à la légalisation de l’aide médicale à mourir. Entretien.

Par Elodie Lepage
·Publié le 10 février 2022 à 9h00·Mis à jour le 10 février 2022 à 10h45


Il milite depuis plus de vingt ans pour que l’aide médicale à mourir soit autorisée en France. Dès 2007, le docteur Denis Labayle a lancé un manifeste de 2 000 soignants reconnaissant avoir pratiqué ce geste chez des malades incurables, manifeste à l’époque publié dans « le Nouvel Observateur ». Aujourd’hui, président de l’association Le Choix/citoyens pour une mort choisie – cofondée par une proche d’Anne Bert, qui, atteinte de la maladie de Charcot, est partie mourir en Belgique en 2017 – , il nous parle de son combat.
Votre association milite pour la légalisation de l’aide active à mourir. Pourquoi cette cause vous tient-elle tant à cœur ?

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« Moi, médecin, j’ai aidé à mourir » : enquête sur les euthanasies clandestines en France
Pour deux raisons. La première est personnelle : les malades m’ont beaucoup appris pendant mes quarante années de vie hospitalière. J’étais gastro-entérologue, une spécialité où beaucoup de patients meurent de maladies graves, de cancers, de cirrhoses, ce qui n’est pas le cas dans toutes les disciplines. Cela m’a permis de comprendre que les personnes en fin de vie, souffrant de maladies incurables, ont des demandes très diverses. Certaines souhaitent partir doucement, grâce aux soins palliatifs, d’autres veulent en finir vite, quand elles l’ont décidé. Une phrase entendue plusieurs fois m’a frappé : « Je ne veux pas être accompagné, docteur, vous ne comprenez pas, je veux partir. »
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MessageSujet: LA RANCUNE ! J.L. dictateur ...   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime12.07.22 22:05

"Il n’est pas inutile de rappeler ici que beaucoup de Français ont été déçus par François Hollande, qui n’a pas respecté son engagement présidentiel, pris dans le cadre de la proposition 21, de faire voter une loi pour que «toute personne majeure en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander, dans des conditions précises et strictes, à bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité». Comment la République peut-elle à ce point bafouer ses valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité ?".
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime15.07.22 15:03

fin de vie en France
loi Léonetti de 2003 à 2022 !
IL N'Y A PAS LE FEU !!!

CLAP HI DANCE KING TONGUE cheveux

désolée, je me défoule après tant de refoulement subit ici et là depuis tant d'années... à cause de qui ?
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MessageSujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie   Léonetti - Jean Léonetti, fin de vie - Page 15 Icon_minitime17.07.22 11:59

Jean Léonetti, CET INDIVIDU-LA !

clin1 clin1 clin1 clin1 clin1
KING KING KING
CLAP DANCE HI
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Jean Léonetti, fin de vie
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