LE PLUS. La Commission nationale consultative des droits de l'homme a adopté, en avril dernier, un avis sur le consentement des personnes âgées vulnérables. Pour Daniel Carré, délégué national de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité, cet avis était nécessaire, car les décisions graves sur le devenir d'un individu sont souvent prises sans son accord.