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| 2020 fin de vie | |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 20.07.20 13:00 | |
| ACTUALITÉS 19/07/2020 08:42 CEST | Actualisé 19/07/2020 11:33 CEST Le masque est obligatoire, encore faut-il savoir le mettre correctement Dès ce lundi, le port du masque est obligatoire dans les lieux clos. Pour ne pas transformer cette protection en nid à microbes, suivez le guide. Par Matthieu Balu MASQUES - Deux mois après le déconfinement, des “signaux faibles” de reprise de l’épidémie de Covid-19 incitent les autorités à multiplier les avertissements et à renforcer la prévention, notamment avec l’instauration du masque obligatoire à partir de ce lundi dans les lieux clos partout sur le territoire national. “Cela concerne les commerces, les établissements recevant du public, marchés couverts, banques”, a précisé ce samedi le ministre de la Santé Olivier Véran alors qu’un décret est toujours attendu afin de fixer le lieux précis où cette obligation s’appliquera. Cette décision concernera notamment les magasins alimentaires des enseignes Auchan, Aldi, Carrefour, Colruyt, Cora, Groupe Casino, Intermarché, Leclerc, Lidl, Netto, Supermarché Match et Système U, précise la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) dans un communiqué. D’inutile à obligatoire D’inutile à optionnel pour finir obligatoire, le masque n’aura cessé de déchaîner les passions depuis le début de la crise Covid-19. Certes, les consignes n’auront pas toujours brillé par leur clarté, mais désormais le masque, qu’il soit en papier, en tissu, ou d’une autre matière, sera l’accessoire indispensable des soldes d’été dans l’Hexagone. Encore faut-il savoir l’utiliser correctement. Pour mettre toutes les chances de votre côté et ne pas transformer cette protection en nid à microbes, retrouvez dans la vidéo en tête d’article un guide tout simple de gestes à faire et à ne pas faire. Il y a d’abord la précaution essentielle. Avant de toucher le masque que l’on veut porter, il faut bien se laver les mains: en frottant dans les moindres recoins, et au moins 20 secondes lorsqu’il s’agit de savon et non de liquide hydroalcoolique. Ensuite seulement, on peut manipuler l’objet, par les lanières uniquement. Pas plus de quatre heures Une fois en place sur les oreilles, il convient de le rendre au maximum hermétique, c’est-à-dire d’empêcher que les projections de votre visage ne sortent ni par le haut, ni par le bas. Délicatement, appuyez sur le rebord supérieur du masque avec deux doigts pour l’adapter à la forme de votre tête. Ensuite, tout en tenant le haut, tirez sur le bord inférieur avec l’autre main, pour qu’il couvre au maximum votre menton. Paré! Un masque ne se porte pas plus de quatre heures: au-delà, son pouvoir filtrant devient largement inefficace. Les masques en papier iront donc dans le poubelle idoine; quant aux morceaux de tissus, leur place est dans la machine à laver avec votre détergent habituel. À 60 degrés minimum pendant au moins 30 minutes, ils retrouvent ensuite leur pouvoir protecteur. Des bons gestes qui, appliqués scrupuleusement, font dramatiquement baisser le danger de contagion. Mais attention, ils n’exonèrent en aucun cas des pratiques d’hygiène et de distanciation sociale apprises durant le confinement. MON COMMENTAIRE = La preuve que ces recommandations sont respectées ??? On met le masque pour ne pas payer l'amende et le reste, on a parfaitement la liberté de s'en foutre...si on veut mourir du covid-19, on arrivera à en mourir... Qu'avez-vous fait, que faîtes-vous de ceci ? https://www.handichrist.net/t1175-janvier-2011-fin-de-vie-echec-d-une-loiPlus cons et plus connes que jamais ! |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 20.07.20 17:37 | |
| QUI SONT LES FRANÇAIS RÉFRACTAIRES AU PORT DU MASQUE OBLIGATOIRE? Hugo Septier Le 20/07/2020 à 14:15 Sur les réseaux sociaux, des milliers d'internautes se rassemblent, et tentent de s'organiser afin d'éviter de porter un masque dans les lieux publics clos. Ce lundi 20 juillet, plus de deux mois après le déconfinemenent de la France et alors que l’épidémie de Covid-19 semble poindre de nouveau dans certains départements, le port du masque devient obligatoire dans les lieux publics clos. En cas de non-respect de cette mesure, les contrevenants se verront verbalisés à hauteur de 135 euros, la même amende que celle déjà donnée dans les transports en commun. Pourtant, malgré son efficacité prouvée et son usage appuyé par les autorités sanitaires dont l'Académie de Médecine, l'idée même du port du masque dans ces lieux, dont la liste a été diffusée par le ministre de la Santé Olivier Véran, a du mal à être acceptée par une partie de la population française. Selon un sondage BVA réalisé ces derniers jours pour RTL et Orange, ils sont 15% a être opposés à cette mesure, et même 22% chez les 18-34 ans. "J'y pense pas" En réalité, ces réfractaires au port du masque sont divisibles en deux groupes assez distincts. Dans un premier temps, il y a les réfractaires qui y voient une contrainte, une gêne dans leur quotidien, mais qui ne semblent pas vouloir remettre en doute l'existence même de la maladie. Interrogés par BFMTV, des passants toulousains ont ainsi fait part de leurs difficultés à porter ce dispositif de protection au quotidien. "J'y pense pas, c'est fatigant, c'est compliqué", estime l'un d'entre eux. "Personne le met, c’est compliqué pour boire un verre ou manger", assure une seconde, interrogée dans l'un des marchés couverts de la ville rose. Pourtant, selon certains récents travaux de professionnels de la santé, la transmission du coronavirus par aérosol, comprendre à travers un nuage de particules virales en suspension durable dans l'air non renouvelé, est une hypothèse qui prend de plus en plus de poids. Le port du masque devient ainsi la principale arme contre ce type de contamination. "Cette voie de transmission, différente de celle concernant la transmission par microgouttelettes et par les mains souillées, est connue et prouvée pour le Sras de 2002, ainsi que pour le Mers. Elle a enfin été admise par l’OMS jeudi pour le Sars-CoV-2", est-il d'ailleurs expliqué dans une récente tribune publiée outre-Atlantique. Faux problèmes de santé Puis viennent les Français qui se disent "anti-masques", bien plus virulents, et qui selon une enquête publiée dans Le Parisien, se définissent comme des "éveillés." De fait, à l'observation de plusieurs groupes sur Facebook nommés "Regroupement contre le port du masque obligatoire" ou encore "anti masque obligatoire", plusieurs de leurs membres, ils sont quelques milliers, utilisent les termes "lucidité" et "dictature" dans leur argumentaire. Dès la lecture de la description de l'un de ces groupes, le ton est d'ailleurs donné. "Les membres de ce groupe sont contre le port du masque obligatoire dans la population générale. L'argument principal CONTRE le port du masque est que le masque porté de façon inadéquate est plus dommageable que de ne pas en porter selon l'OMS et l'INSPQ", peut-on lire. De fait, bon nombre de ces posts se font écho d'une infographie, diffusée par Sott.net, un site aux relents conspirationnistes rapporte encore Le Parisien, qui liste les différents points selon lesquels le masque serait mauvais pour la santé. Selon eux, le masque "diminue l'apport en oxygène", augmente l'inhalation de toxines ou bien "détériore le système immunitaire", des faits qui ne s'appuient actuellement sur aucun argument scientifique. Cette fronde populaire, qui selon le quotidien francilien semble venir directement du Québec, où des manifestations ont été organisées, est également un écho aux récents événements qui se sont déroulés aux États-Unis, où de nombreuses bagarres ont éclaté à l'entrée de magasins, et où le mouvement anti-masque semble également prendre de l'ampleur. Sur Twitter, où les groupes privés n'existent pas, la propagation des arguments anti-masques semble bien plus compliquée, puisqu'elle se heurte à la désapprobation de milliers d'utilisateurs. En témoigne ce post publié dans le week-end, qui a causé le courroux de nombreuses personnes. Théories complotistes A l'image des groupes "anti-confinement" qui étaient apparus lors de la quarantaine, bon nombre de ces groupes "anti-masques" reprennent en réalité de nombreuses thèses complotistes, qui sont ensuite partagées sans réelles, voire aucune, vérifications. Celles-ci dépassent même largement le cadre du seul port du masque obligatoire, s'attaquant à d'autres thèmes en lien avec la lutte contre l'épidémie de Covid-19. Ainsi, pour certains, les vaccins en préparation contre le coronavirus sont une invention du multi-milliardaire Bill Gates, qui souhaiterait contrôler la population grâce à une puce. D'autres accusent également la 5G, nouvelle cible privilégiée du complotisme actuel, de favoriser la transmission du virus. SUR LE MÊME SUJET Coronavirus: Olivier Véran dévoile la liste des lieux où le masque est désormais obligatoire Enfin, de nombreux utilisateurs recommandent aux plus hostiles de se rendre chez leur médecin afin d'y demander une "dispense" de port du masque. Or, comme le précise une dernière fois Le Parisien, celui-ci n'est contre-indiqué pour aucune maladie. Peut-on être comme Moi, Admin, anti-masque parce qu'on est anti-réanimation automatique ? et le reste, on s'en fout tellement...qu'on souhaiterait de mourir de cette grippe, histoire d'être enfin tranquille... pour de bon !!!s'endormir le soir avec son masque pour ne plus se réveiller ? cf le jeu du foulard ? ce serait drôle, une vague de suicides au masque ! ! ! en cas de mise en pratique éventuelle, ajouter un mélange de je ne sais quoi pour bien s'endormir et dormir ( 99% de probabilité que le masque soit arraché dans le sommeil ) ( avec vos Directives Anticipées à côté de vous, rédigées selon VOTRE volonté et VOTRE souhait ) . |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 21.07.20 20:24 | |
| Nous sommes dans la même barque, avec l'interdiction d'avoir entre nous des contacts physiques, avec l'interdiction des noyades, bref pas de solution, donc pas de problème ? bienheureux les décédés du Covid-19, on leur fout la paix maintenant ! |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 21.07.20 20:36 | |
| Demandez aux Infirmes Moteur Cérébraux et aux malades Parkinson de NE PLUS bouger c'est la triple peine depuis mars 2020 la double peine étant attribuée ( par moi ) aux handicapés de naissance vieillissant... la cerise sur le gâteau : le Gouvernement français NE fera RIEN à propos de la fin de vie, toujours orchestrée par Jean Léonetti depuis des années, des années et des années JE VOUS HAIS, si je pouvais vomir, pisser et chier sur vous ... https://www.handichrist.net/t1175-janvier-2011-fin-de-vie-echec-d-une-loi"toute personne majeure en phase avancée ou terminale d'une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander dans des conditions précises et strictes à bénéficier d'une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité" (proposition 21 du candidat Hollande ). |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 21.07.20 22:14 | |
| NE PAS ME REANIMER en cas de covid-19 je n'ai pas l'intention d'appeler qui que ce soit en cas de symptômes graves respiratoires. Mon problème est de savoir ce que je ferai pour mourir moi-même seule. J'ai maintenant trop de mépris pour les uns et les autres. Désolée, mais il y a des limites à tout ! |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 22.07.20 19:22 | |
| [size=33]Quels sont les droits, souvent méconnus, des personnes en fin de vie ?[/size] EXISTENCE L’écrasante majorité des Français ignore les dispositions existantesM.K. pour 20 Minutes Publié le 22/07/20 à 10h45 — Mis à jour le 22/07/20 à 10h45Les patients en fin de vie ont des droits, protégés par deux lois, afin de faire respecter leurs volontés. — IStock / City PresseDepuis 2005, la loi Leonetti relative à la fin de vie octroie aux patients des droits, renforcés par un autre texte législatif datant de 2016. Néanmoins, selon le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV), 9 Français sur 10 ignorent totalement ces dispositions qui les protègent et les accompagnent dans leur maladie. Pas d’acharnement thérapeutiqueLes lois de 2005 et 2016 donnent la possibilité aux malades, mais aussi aux personnes bien portantes, d’anticiper leur fin de vie, d’exprimer leurs choix et de désigner une personne de confiance qui sera à même de les faire respecter en cas d’incapacité. Ainsi, les patients ont droit de refuser une « obstination déraisonnable », c’est-à-dire un acharnement thérapeutique lorsque les soins sont inutiles, disproportionnés ou ne servent qu’à maintenir artificiellement la vie. C’est le cas, par exemple, de la nutrition et de l’hydratation artificielles. Les patients en fin de vie ont également le droit de demander une « sédation profonde et continue » jusqu’au décès, notamment lorsqu’il y a des complications irréversibles et graves, et que les traitements ne suffisent pas à calmer les souffrances. Cette sédation peut être mise en œuvre à domicile, dans un établissement de santé ou dans une structure qui accueille des personnes âgées. Enfin, les malades peuvent émettre des directives anticipées, des documents qui permettent d’exprimer leur volonté de refuser ou de poursuivre les soins, de mettre en place un maintien artificiel de la vie ou de bénéficier d’une sédation. Le choix d’une personne de confiance permet, quant à lui, de manifester sa volonté si la personne n’est plus en mesure de le faire.[/size] |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 22.07.20 19:36 | |
| Baratin du CNSPFV tout le monde parcourt le web les cas de Anne Bert et de Vincent Lambert ont été médiatisés... il faudrait arrêter de dire ou d'écrire des conneries chez les soins palliatifs en fin de vie !!! !!! !!! çà me tue... d'une manière ou d'une autre ! n'est-ce pas, Docteur... ( je n'écris pas son nom, mais elle se reconnaîtra si elle me lit ) c'est vrai que je suis handicapée âgée anxieuse phobique obsessionnelle etc etc mais il y a de quoi ! L’écrasante majorité des Français ignore les dispositions existantes alors qu'on crève du covid-19 faut pas exagérer tout de même c'est se foutre de la gueule du monde vous me donnez envie de me tuer... vous me tuez quelque part j'en ai marre çà fait DIX ANS que je tourne en rond ici nous sommes en pleine pandémie et vous sortez des âneries c'est bien vous qui pensez que si les soins palliatifs de fin de vie disparaissent, les soins palliatifs au cours de la vie seront aussi supprimés... vrai ou faux, je n'en sais rien mais vous avez peur de perdre votre place... Espèce d'imbécile qui m'a dit que si je devenais aveugle, je devrais vivre dans la cécité puisque j'ai vécu avec un handicap moteur de naissance, çà s'est passé par téléphone... je vous avais suggéré un entretien en tête à tête, vous avez refusé tant pis pour vous... et si vous pensez que je perds le contrôle de moi-même, eh bien démerdez-vous pour que le Myolastan et le Decontractyl soient remis sur le marché au lieu de dire ou d'écrire des âneries |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 23.07.20 0:18 | |
| je suis énervée, énervée, énervée pour des raisons x y z j'ai pris les medocs du soir, je ne puis augmenter à cause de demain je vous maudis, je vous maudis, je vous maudis. je deviens folle à cause de vous tous et toutes. je suis très mal ds mon corps, ds mon esprit, ds mon âme je voudrais mourir, la vie est trop absurde. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 23.07.20 0:27 | |
| JE VEUX MOURIR DU COVID-19 parce que le Gouvernement refuse encore et toujours de légaliser euthanasie et suicide assisté comme cela a été suggéré en France en 2009, 2010. Le connard François Fillon Premier Ministre s'y est opposé fin janvier 2011, et on connaît la suite. JE ME SENS MAL, TRES MAL. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 27.07.20 11:09 | |
| EN DIRECT - Coronavirus : Castex veut "éviter par-dessus tout le reconfinement général"
Eh bien, s'il faut un reconfinement général et durable pour que le Gouvernement change de direction à propos de la fin de vie, citoyens, citoyennes, NE prenez PAS soin de vous, partagez-vous ce virus... On en a marre. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 01.08.20 23:31 | |
| Coronavirus. Les quatre scénarios de l’exécutif face à l’épidémie Reconfinements ciblés, des personnes à risque ou même global… Le gouvernement avec le Conseil scientifique envisage quatre scénarios pour faire face à une seconde vague de l’épidémie de coronavirus.
Des passants portant des masques, des protections devenues obligatoires dans les rues de Lille (Nord) depuis le vendredi 30 juillet. Des passants portant des masques, des protections devenues obligatoires dans les rues de Lille (Nord) depuis le vendredi 30 juillet. | DENIS CHARLET / AFP Afficher le diaporama Ouest-France avec AFP Publié le 01/08/2020 à 20h11
L’exécutif a bâti sa stratégie de réponse à l’épidémie de coronavirus autour de quatre scenarii, qui vont d’une maîtrise de la circulation du virus à un reconfinement généralisé, en s’appuyant sur une série d’indicateurs et de protocoles.
Cette stratégie, élaborée à partir d’un avis du Conseil scientifique paru le 2 juin, se veut avant tout différenciée selon les territoires.
« L’idée est d’avoir une réaction la plus adaptée possible en fonction de la situation », souligne le ministère de la Santé, où l’on se prévaut de l’expérience acquise après la première vague du printemps.
Quatre indicateurs Quatre indicateurs principaux guident la réflexion des autorités et leur permettent de voir dans quel scénario chaque territoire se situe.
D’abord, le taux d’incidence, c’est-à-dire le nombre de cas répertoriés dans la population d’une région, d’un département, d’une ville…
Ensuite, le taux de reproduction (R0), c’est-à-dire le nombre de personnes que chaque malade contamine. Au-dessus de 1, la circulation du virus s’accélère. Puis, le taux de positivité des tests, à savoir le nombre de tests positifs sur le total des tests effectués.
Et enfin, le pourcentage de patients hospitalisés pour Covid-19.
> Suivez ici notre direct de ce samedi 1er août consacré à la pandémie de coronavirus
D’autres données peuvent encore entrer en jeu, comme le nombre de tests réalisés, ou encore le nombre de cas chez les jeunes.
Une fois ces chiffres collectés, « chaque prise de décision est toujours précédée d’une analyse de risques et est menée avec les acteurs territoriaux ». Le préfet et le directeur de l’Agence régionale de santé, sont systématiquement associés, explique le ministère de la Santé. En clair : « aucune décision n’est prise sans concertation avec le terrain ».
Scénarios 1 et 2 : épidémie maîtrisée, mesures différenciées En attendant que vaccins ou traitements soient disponibles, tout l’enjeu est de rester dans le scénario 1, dans lequel l’épidémie est sous contrôle, avec des indicateurs stabilisés, grâce au triptyque « tester – tracer – isoler » et des gestes barrières respectés. C’est pour l’heure ce scénario qui prévaut bon an mal an sur la majeure partie du pays.
Mais, certains territoires sont entrés dans le scénario 2 avec « un ou des clusters critiques, signes d’une reprise locale de l’épidémie », selon la typologie du Conseil scientifique. Dans ce cas, il convient d’appliquer des « mesures localisées et précoces ».
C’est le cas en Mayenne ou dans la Métropole de Lille où le port obligatoire du masque a été décidé dernièrement. Des reconfinements ciblés pourraient aussi être prononcés, à l’image de ce qu’il s’est déjà produit dans des pays voisins de la France.
Scénarios 3 et 4 : perte de contrôle et reconfinement général Ce sont les deux scenarii que les autorités veulent à tout prix éviter.
Dans le scénario 3, l’épidémie reprendrait « à bas bruit ». Les indicateurs se dégraderaient alors, sans que l’on parvienne à remonter les chaînes de contamination. Les mesures seraient renforcées (tests, gestes barrières, isolements individuels, télétravail) jusqu’à l’échelle régionale, en fonction de plusieurs protocoles spécifiques « très détaillés et prêts à l’emploi » qui ont été élaborés pour les populations à risque (précaires, personnes âgées), les grandes métropoles, ou encore les hôpitaux.
Dans le scénario 4, « l’épidémie atteint un stade critique » car les efforts pour l’endiguer ont échoué. Il pourrait aboutir alors à un reconfinement général comme la France l’a connu de la mi-mars à la mi-mai, avec ses effets catastrophiques sur l’économie notamment.
Quel arsenal juridique ? Durant la première vague de l’épidémie, des mesures exceptionnelles ont pu être prises, comme la limitation de certains déplacements, en instaurant un « état d’urgence sanitaire » qui a pris fin le 10 juillet, sauf en Guyane et à Mayotte.
Cependant, et jusqu’au 30 octobre 2020, le gouvernement peut par décret imposer certaines restrictions de circulation, d’ouvertures de commerces…
Grâce à l’article 50 d’un décret du 10 juillet, les préfets sont également habilités à prendre une série de mesures dans chaque département, comme le préfet du Nord pour la métropole lilloise.
S’il fallait toutefois revenir à un reconfinement strict, même localisé, le gouvernement devrait déclarer de nouveau l’état d’urgence sanitaire sur tout ou partie du pays. Cela peut se faire par simple décret en Conseil des ministres. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 13.08.20 12:58 | |
| SCIENCE 12/08/2020 18:48 CEST Les malades du "long Covid" voient les symptômes nouveaux se multiplier Jugés trop rares pour être étudiés dans le cadre de l'épidémie de coronavirus, ces signes soulèvent de plus en plus de questions auprès de la communauté scientifique. Par Matthieu Balu Pour les malades du MARYVIOLET VIA GETTY IMAGES Pour les malades du "long Covid", les symptômes nouveaux se multiplient. Image d'illustration CORONAVIRUS - Le temps passe, et la maladie reste. Les symptômes, quant à eux, évoluent. Au fur et à mesure que le pic de la pandémie de coronavirus s’éloigne, et en espérant que le prochain ne soit pas déjà en vue, les patients “longue durée” se font entendre. Ceux pour qui la maladie n’est pas passée en quelques jours, ni même en quelques semaines malgré un diagnostic positif continuent de se battre.
Ils ont émergé il y a déjà plusieurs mois aux yeux du public, avec les hashtags #apresJ60 ou #apresJ120 en France, ou encore #longcovid aux États-Unis, mais aussi grâce à des témoignages de stars comme Alyssa Milano.
Aujourd’hui, ils intéressent aussi la science, qui cherche à comprendre pourquoi certains “traînent” la maladie après l’avoir vaincue, mais également quels sont les symptômes de ces malades du Covid d’un genre bien particulier.
Douleurs de la tête aux pieds En étudiant les messages laissés sur Twitter par les personnes se disant atteintes depuis plus de 60 jours par SARS-CoV-2, une équipe de l’université d’Oxford a fait remonter des symptômes qui ne sont ceux pas ce que connaissent les malades habituels. Ainsi, aux côtés des manifestations communes au virus, comme l’anosmie (perte de l’odorat), les maux de tête ou la douleur à la poitrine, de nombreux utilisateurs ont décrit des insomnies, de la tachycardie, et pour quelques-uns des acouphènes et des douleurs musculaires.
Une autre étude, menée cette fois en interrogeant directement les membres d’un groupe de “long haulers” (les “longs termistes” en anglais), ces malades qui, bien que convalescents, n’arrivent pas à se sortir de la maladie, montre là encore que pour eux, les symptômes se multiplient. “Le sondage démontre que les douleurs corporelles, nerveuses, et aux articulations sont fréquentes”, détaille ainsi l’étude.
D’un point de vue scientifique, ces symptômes ne sont pas totalement expliqués. Les auteurs des études citées appellent à se pencher sur ces souffrances subies par de plus en plus de malades pour déterminer un lien véritable de causalité avec le Covid-19 et tenter de les prévenir.
Mais ils ne sont pas non plus surprenants: comme l’expliquait Stephen Halpin, chercheur à l’université de Leeds, à nos confrères britanniques du HuffPost début août, ces symptômes d’une infection à long terme sont similaires à ceux vécus par les malades du SRAS (2002) ou de Mers (2012). Deux épidémies dues à des coronavirus, dont l’agressivité n’en finit pas d’être découverte.
Des phénomènes encore trop peu étudiés Un article publié dans la revue Science le 31 juillet fait d’ailleurs directement le lien entre la nature protéiforme du virus et la multiplicité des symptômes: le coronavirus est capable de créer des dommages dans les poumons, dans le cerveau, dans le coeur, dans les muscles... Par conséquent, ceux qui ont eu plus de difficultés face aux virus peuvent en avoir retiré des cicatrices durables. Le journal prend l’exemple d’un patient qui, deux mois après avoir vaincu la maladie, continue de souffrir d’une arythmie du coeur causée par le virus SARS-CoV-2.
Ce type de manifestation, trop rare pour être pour l’instant listée comme symptôme par les autorités de santé, s’est donc démultiplié avec le temps, pour une maladie qui n’en finit pas de montrer ses différents visages. En mai dernier déjà, une chercheuse de l’University College London (UCL) listait les douleurs décrites par 640 patients atteints du Covid: au total, pas moins de 62 symptômes avaient déjà été identifiés! La preuve que les douleurs dont souffrent les victimes du “long Covid” n’ont rien de psychologique, même si la fatigue et le stress apportent eux aussi leur lot de complication. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 13.08.20 19:17 | |
| appel aux suicidaires et/ou aux suicidants quoique vous fassiez, n'oubliez pas vos masques et vos Directives Anticipées à côté de vous.... N.P.R. = NE PAS réanimer. vous pouvez vous étouffer ou vous étrangler avec le masque, ou tout simplement signifier que vous en avez marre de cette espèce de politique... ce ne sont que des suggestions... pour les adeptes du jeûne total et absolu, il vaut mieux y aller progressivement, histoire d'habituer votre corps... rassurez-vous, avant de mourir moi, je veux vous faire mourir tous et toutes... me venger de tout ce que vous m'avez fait subir puis mourir après... en étouffant car j'étouffe déjà depuis un bon moment, il y a des limites à tout ! |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 14.08.20 16:41 | |
| CITATION et si vous pensez que je perds le contrôle de moi-même, eh bien démerdez-vous pour que le Myolastan et le Decontractyl soient remis sur le marché au lieu de dire ou d'écrire des âneries COMMENTAIRE Patate ! on ne pourra même plus se suicider aux medocs si on les supprime... supprimer des medocs sans proposer une aide active à mourir, et çà se dit soignant... c'est pour cela que je suggère des T.S. au masque... faire joujou avec son masque en tissu, la nuit, en dormant... tout est tellement absurde, on en crèverait de rire, un rire bien jaune... ce serait tout même drôle, des vagues de suicides avec les masques ( en tissu ) ... Imposer canicule + masque + reconfinement éventuel + test + vaccin éventuel, sans refaire une loi sur la fin de vie, c'est de la saloperie délirante... ( c'est nécessaire d'avoir plusieurs masques en tissu pour T.S. ou + ). |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 16.08.20 19:27 | |
| Il semblerait que j'ai une conjonctivite aux deux yeux qui serait due soit à la canicule, soit au covid-19 ( que j'aurais donc ), soit au port du masque couplé avec mes lunettes de toute façon, comme il n'y a pas de dentiste qui accepte de me soigner en tant que personne handicapée, je n'irai pas chez un ophtalmo.. et si je deviens aveugle suite à cette conjonctivite, j'ai la ferme intention de me suicider, étant certaine que de toute façon on ne me proposera pas la sédation profonde continue jusqu'au décès à cause de cette cécité. Je suis tout bêtement logique ds mon raisonnement. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 17.08.20 20:02 | |
| Alain Cocq va-t-il passer à l'acte ? Va-t-on l'en empêcher ? Comment va-t-on réagir ? en l'imitant ? Quelque part, cette médiatisation est idiote, le Samu ne peut que faire son boulot et ses auxiliaires de vie n'ont pas envie de se retrouver derrière les barreaux. Alors que va-t-il se passer ?????????? Vincent Humbert Anne Bert Vincent Lambert Alain Cocq ??????????????? je doute, donc je suis et le reste, c'est... de la merde. Tout le reste, y compris Macron avec ses masques. C'est con, je ne me suis pas encore jetée par la fenêtre ! c'est faisable... Sans déconner, j'ai du mal à voir. J'aurais aimé attendre le procès de Salah Abdeslam pour des raisons x y z la sédation profonde continue jusqu'au décès, je veux bien, sauf que c'est rentrer ds le jeu de Jean Léonetti... ce petit merdeux obstiné. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 19.08.20 20:39 | |
| je peux sauter comme je peux ne pas sauter tant que je ne saute pas ! l'idée de l'acte est plus jouissive que l'acte lui-même. Sauter par la fenêtre, c'est si simple et en même temps unique. On connaît le début, mais pas la fin, bien que le voyage soit très court. C'est vertigineux, enivrant et angoissant. C'est fait, en pensée je viens de sauter. Mon corps est intact, il m'appartient encore et toujours. Et je peux re-sauter par la fenêtre à ma façon !!! |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 21.08.20 10:51 | |
| Fin de vie : les militants de l’association Ultime liberté repartent au combat en Normandie Il y a quelques mois, des seniors étaient perquisitionnés. Leur tort : avoir acheté un produit pour pouvoir se donner la mort. Une situation que dénonce l’association Ultime Liberté, alors que de nouvelles demandes pour mourir dans la dignité remettent le débat sur la place publique. Anthony QUINDROIT PUBLIÉ LE 21/08/2020 À 05:25 MIS À JOUR LE 21/08/2020 À 05:25 TEMPS DE LECTURE : 1 MINUTE Crainte de la maladie, de devenir invalide... Pour certaines personnes, la question de la fin de vie ne doit plus être un tabou. Elles réclament le droit de pouvoir choisir le jour de leur mort et demandent un changement législatif. (Photo d’illustration Adobe Stock) Crainte de la maladie, de devenir invalide... Pour certaines personnes, la question de la fin de vie ne doit plus être un tabou. Elles réclament le droit de pouvoir choisir le jour de leur mort et demandent un changement législatif. (Photo d’illustration Adobe Stock) Un simple entrefilet dans le quotidien. Une femme de 87 ans mise en examen pour avoir aidé son mari de 89 ans à mourir. Pour Marie-Pierre Capitaine, ce n’est pas qu’un simple et dramatique fait divers. C’est une honte. Responsable de l’antenne normande de l’association Ultime Liberté, elle se met devant son ordinateur pour rédiger une lettre qu’elle adresse au président de la République Emmanuel Macron. « Combien de temps allez-vous encore cautionner l’hypocrisie concernant la fin de vie en France ? » attaque-t-elle. Fin de vie à domicile : l'accès à un sédatif bientôt simplifié Abonnement numérique à partir de 1 euro « 3 000 suicides ! » En octobre 2019, des membres de l’association étaient perquisitionnés quasi simultanément dans toute la France suite à une enquête menée par le FBI aux États-Unis. La centaine de « suspects », pour la plupart des retraités sans histoire, avaient commandé outre-Atlantique du pentobarbital, un barbiturique mortel interdit à la vente en France depuis 1996 (hors usage vétérinaire). « Ces gens ne demandaient rien que le droit d’avoir le choix de partir sans souffrir si un jour ils devenaient dépendants ou grabataires », fulmine Marie-Pierre Capitaine, à la fin de l’une des rares réunions de l’antenne normande de l’association où une dizaine de personnes (sur les vingt membres) sont venues faire le point annuel. Personne ne confirme officiellement avoir passé commande dudit produit. Mais, à demi-mot, certains le sous-entendent. « Il ne s’agit pas de vouloir mourir à tout prix. Mais c’est une philosophie de la fin de vie, on veut en être maître sans subir la pression médicale, psychologique et morale de la société. On ne voit pas pourquoi on serait sanctionné pour un choix personnel », commente Jacqueline, 74 ans. « Comme rien n’est possible en France, certains sont dans une situation de détresse physique et morale, ajoute une autre. Le fait d’avoir le produit, en se disant qu’on n’aura peut-être jamais à l’utiliser, ça enlève un poids. On l’a vu chez certains membres. » Sur les personnes perquisitionnées en Normandie, personne ne pipe mot. « Il y en a eu, se contente-t-on de préciser. C’est un traumatisme. Il y a quand même un agent qui a balancé à l’une des personnes que, pour se suicider, Étretat c’est gratuit... » « Ce produit, c’est une bouée de secours, une aide morale. Juste savoir que l’on a le choix de l’utiliser ou non, c’est une délivrance. Quand on voit les affaires Lambert et Humbert, elle est où la dignité de la personne dans ces cas-là ? » interroge, agacée, une participante. « Il y aurait au moins 3 000 suicides de personnes âgées chaque année. On attend quoi pour que les personnes puissent partir dans de bonnes conditions ? » enchaîne Dominique, un adhérent. Par un changement de législation appelé de leurs vœux, les membres de l’association espèrent ainsi éviter les drames. Les tentatives d’autolyse qui laissent des séquelles lourdes, les arrêts de traitement – comme l’a annoncé Alain Cocq, un malade demandant le droit de mourir, qui doit être entendu dans les prochains jours par les services de l’Élysée (lire par ailleurs) – et toutes ces morts à l’étranger ou mal encadrées. Et seul. « Tout au long de l’humanité, les civilisations ont laissé aux anciens le choix de partir. Chez les Grecs, les Japonais, les Afghans... Même chez les Inuits, dans Les derniers rois de Thulé, c’est expliqué : ils s’éloignaient du groupe et partaient mourir en se laissant geler ! » « Ah bah, on serait bien maintenant avec la fonte des glaces ! » rebondit une intervenante. La petite assemblée explose de rire malgré la gravité du sujet. Preuve que l’on peut vouloir anticiper sa mort sans vouloir arrêter |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 22.08.20 9:11 | |
| JIM.fr
Publié le 21/08/2020 Sédation profonde et continue : une demande des patients dans un cas sur six seulement
Paris, le vendredi 21 août 2020 - Le Centre nationale des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV) publie les résultats d’une enquête qui visait à évaluer la mise en œuvre de la loi Claeys-Leonetti, votée le 2 février 2016.
Rappelons que ce texte a institué un droit d’accès à la sédation profonde et continue jusqu’au décès (SPCJD) sous certaines conditions.
Une première étude menée par le CNSPFV début 2018 n’avait pas permis d’obtenir de données quantitatives fiables.
Aussi, en avril 2019, ce centre décidait de réaliser une enquête restreinte à une semaine et 14 hôpitaux. Dans deux de ces quatorze établissements, aucune SPCJD n’a été rapportée. Sur les douze autres structures hospitalières restantes, 53 « fiches patients » ont été transmises aux investigateurs de l’étude.
Parmi elles, 17 n’ont pas été retenues, il s’agissait de « sédations légères à visée anxiolytique », de « sédations d’urgences palliatives » ou de « sédations palliatives initiées de façon à être proportionnées et qui finalement ont été maintenues jusqu’au décès, mais sans avoir été voulues d’emblée comme des SPCJD ».
Les 36 fiches patients retenues concernaient « 22 hommes et 14 femmes, dont près de la moitié avait plus de 80 ans ».
Les SPCJD ont été réalisées principalement dans des services de réanimation (19/36), d’urgence (8/36) et de gériatrie (6/36), sur proposition médicale dans 30 cas, et pour répondre à une demande du patient dans 6 cas.
Une procédure collégiale a été effectuée dans la majorité des cas (n = 33/36) à l’exception: d’une situation où elle n’était pas renseignée; et 2 cas de réanimation où la SPCJD accompagnait un arrêt de ventilation invasive. La décision d’arrêt de ventilation avait été précédée d’une procédure collégiale au cours de laquelle la SPCJD n’avait pas été spécifiquement évoquée.
L’étude mentionne que « les délais de survenue du décès après instauration de la sédation » ont varié de « 0,25 à 144 h pour une moyenne de 33,5 h ».
Le midazolam et la morphine sont les sédatifs et antalgiques qui ont été utilisés, à « l’exception de 3 cas en réanimation pour lesquels le propofol a été privilégié ».
Les auteurs notent que : « parmi les 36 SPCJD répertoriées, deux sous-groupes se distinguent nettement selon le type de LAT [limitation ou arrêt de traitement NDLR] en cause et les doses de sédatifs et d’antalgiques utilisées. En effet, dans cette étude, les SPCJD mises en œuvre en soutien d’un arrêt de ventilation assistée, l’ont été avec des doses de midazolam et de morphine en moyenne 6 fois supérieures à celles utilisées lors de SPCJD prescrites en accompagnement d’un arrêt de nutrition et hydratation artificielles » aussi, ils s’interrogent « sur la profondeur de la sédation mise en œuvre » dans le second cas.
Les auteurs envisagent désormais de poursuivre leurs observations pour essayer d’ « approcher davantage d’intentionnalité du prescripteur » et pour « mieux appréhender les tensions éthiques » que suscitent ces « pratiques sédatives ».
X.B.
RÉFÉRENCES Valérie Mesnage et coll. : Enquête du centre national des soins palliatifs et de la fin de vie sur la sédation profonde et continue jusqu’au décès (SPCJD) à 3 ans de la loi Claeys-Leonetti. La Presse Médicale Formation Volume 1, N° 2, Juin 2020, Pages 134-140 |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 23.08.20 18:14 | |
| Je veux du Myolastan et du Décontractyl Je veux qu'on laisse ceux et celles qui le souhaitent mourir d'une grippe c'est tout ! Mon absurdité est le reflet de la vôtre |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 25.08.20 20:44 | |
| Merci à Alain Cocq de nous avoir permis d'oublier le covid 19 qui étouffait mentalement et psychiquement ( à qui la faute ? pas au virus lui-même ... ) J.L. aussi étouffe mentalement et psychiquement nous sommes toujours vivants, pas encore morts, des morts-vivants Je vais avaler un bon surdosage de medocs ce soir, mon corps en a besoin, un bon dodo profond qui me donnera l'illusion de flotter ou de voler, l'impression d'être sans mes deux bras et sans mes deux jambes,juste une tête avec un tronc ! ah, ce n'est pas bien de rire du handicap ! certes. Comme ce n'est pas bien de refaire la même loi sur la fin de vie pendant une quinzaine d'années et de nous promettre le changement à chaque élection ou presque. D'où ma maxime STOPdonsSTOPvotesSTOP. Ils vont remettre cela en 2022 et sous quelle forme ? qu'ils reçoivent virtuellement ma merde, ma pisse et mon vomi ! non mais ! |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 26.08.20 10:57 | |
| Facile d'être mourant, difficile de mourir ! par ex. si j'écris qui je suis, où je suis, et si j'annonce mon saut réel par la fenêtre, on m'attendra en bas pour me récupérer à leur manière. Faut-il faire de la pub à propos de sa mort si on veut à tout prix aller jusqu'au bout ? Oui et non. Alors je ne sais pas... ... ... Par contre, abîmer volontairement ses constantes biologiques discrètement et pendant longtemps, c'est faisable, mais c'est plus long que la Sédation Profonde Continue Jusqu'au Décès ( il suffit d'éviter les hospitalisations pour qu'on ne ne rende compte de rien ). C'est ce que j'appelle un suicide lent biologique. Rentrer dans le jeu de Jean Léonetti, ou ne pas y rentrer, that is the question ! |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 27.08.20 12:38 | |
| je suis bête, hein ? je continue mon chapelet de copiés-collés bêtement.. je suis bête comme vous tous et vous toutes... ..oui, vous êtes bêtes. Un vrai compromis aurait pu se faire avec le lobby Léonetti et le suicide assisté ( car il se fera inévitablement et nécessairement ... ... ... ). j'ai mal partout, là, de la tête aux pieds, alors je ne sais pas du tout de ce que je vais faire de ma journée déjà entamée. Plusieurs possibilités s'offrent à moi... ( ce qui est positif en soi ). Mais en faisant un choix, j'élimine le reste logiquement. Choisir pour ne plus choisir. C'est cela, le choix... Qu'est-ce que je veux dire? tout et rien comme d'habitude puisque nous sommes sur internet. Tout et rien. Parce que vous êtes aussi tout et rien... Je suis une merde. Mais vous l'êtes aussi, une merde. à quoi vous jouez, gouvernement et associations ? à quoi vous jouez ? j'ai mal partout, de la tête aux pieds. C'est supportable. Mais ma journée est foutue. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 29.08.20 12:45 | |
| J'ai mal physiquement, même avec mes medocs, ce qui est un peu bizarre ( coincidences avec l'actualité ??? ??? ??? ). Evidemment je ne vais pas avaler toutes mes boîtes car çà ne va pas me tuer et il ne me restera plus rien... ... ... Moi sans medocs, je n'existe plus, je suis comme l'ivrogne avec ses bouteilles. Il est vrai que j'ai des pbs digestifs depuis un certain temps alors il y a peut-être un pb d'assimilation ? Un toubib pour moi est comme un distributeur automatique de medocs, rien de plus presque. Voilà une des conséquences de l'acharnement palliatif français. Je ne discute plus avec les toubibs, cela ne sert à rien, mais j'arrive encore à leur dicter les ordonnances.. avant la consultation, aller ds le Vidal pour demander un dosage un peu maxi mais pas trop maxi et prendre les doses suffisantes pour son corps, ainsi on a des réserves ( faire des petits sacs par année de péremption ). C'est triste à dire, un toubib, un distributeur de medocs, rien de plus. Voilà pourquoi à la veille de ma mort, j'aimerais pouvoir choisir entre plusieurs molécules, mais je peux tjrs courir !!! Ceci dit, je suis anti-vaccin, surtout qd le vaccin empêche la mort ! Je suis au courant des effets secondaires et des interactions. Mais qd on prend conscience du lobby de l'industrie pharmaceutique.... Je sais, prendre un medoc avec une date périmée, ce n'est pas peut-être pas aussi bon qu'avec une date normale. Mais c'est un peu comme les génériques.. et il n'y avait pas de date limite de consommation il y a 50 ans. Allez vérifier la date de validité de la morphine pour les mourants... de toute façon... |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 29.08.20 15:20 | |
| c'est marrant, la vie, il y a des surprises auxquelles on ne s'attendait pas. Mais quelles surprises peut-on avoir au cours d'une sédation profonde continue jusqu'au décès ? ( à part pour l'entourage... ).
Jean Léonetti m'énerve, alors je me suis fabriquée des sortes de compensation pour essayer de l'oublier ( comme ici, par exemple ??? !!! ) et je me retrouve " enfermée " ds mes compensations, à la fois elles m'aident à vivre, mais en même temps j'en suis esclave je ne peux pas et je ne dois pas en dire davantage pour respecter l'anonymat du web |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 29.08.20 19:06 | |
| quand est-ce que les responsables politiques se mettront ds leur cervelle le fait qu'on en a rien à foutre de crever d'une grippe ? Trente mille morts en France à cause du covid-19, ce n'est rien ! et les gens qui ont des séquelles à vie ?
Coronavirus : à Paris, quelques centaines de manifestants anti-masques
Effectivement, le masque est absurde si on ne le lave pas ou si on ne le change pas Quelque part, obliger les gens à porter un masque signifie qu'on les invite à fermer leur gueule...
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 03.09.20 17:12 | |
| je ne fais aucun commentaire ds le sujet Alain Cocq, que des copiés-collés + vidéos. De toute façon, pour l'instant, s'il a planifié sa fin de vie, on ne connaît pas la suite ( changement d'avis, intervention du Samu, censure de Facebook, visite-surprise de Macron avec du Nembutal à son domicile !!!!!!!!!! , que sais-je encore, le lendemain étant fait d'imprévu ).. Je me moque sans limite de cette gestion française de cette fin de vie à la française. Car ils vont trop loin ds leur immobilisme. On se doute bien que tout le monde en profite, moi évidemment...j'en profite pour me venger, me venger, me venger. Il y a de quoi vouloir se venger qd une loi a failli être votée en janvier 2011 et qd on reparle de remettre tout çà à la prochaine élection présidentielle.... Me venger virtuellement tout simplement. J'ai mal au dos, le même genre de douleur que je peux avoir ds les quatre membres. Psychosomatique, diraient les uns, neurologique, diraient les autres. Donc sans solution.. Il y a bien quelques enculés qui m'ont proposé des granulés, mais je fonctionne avec la médecine classique... ... ...J'avais essayé l'homéopathie, l'équivalent des bondieuseries à Lourdes.. ( là où ils réclament du fric aux pélerins malades et handicapés à cause du confinement de Macron ). |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 05.09.20 15:16 | |
| CITATION Fin de vie : Le live vidéo dans lequel Alain Cocq voulait se laisser mourir a été bloqué par Facebook SANTE Le réseau social a bloqué samedi à midi la diffusion en vidéo de l’agonie d’Alain Cocq, atteint d’une maladie incurable, qui a décidé de se laisser mourir en direct sur le réseau social H. B. Publié le 05/09/20 à 14h19 — Mis à jour le 05/09/20 à 14h25 COMMENTAIRE FB sous l'ordre du Gouvernement ? de l'Eglise ? des associations anti-choix ? Qui sont les manipulateurs ? Où sont les manipulés ? ??????????????? ????????? ????? ??? ? |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 05.09.20 23:05 | |
| je peux tout faire !!!!!!!! soit c'est mon dernier post, soit je supprime ce site .... sauf que je ne peux pas me filmer sur Facebook, oh quel dommage !!! !!! !!! alors je fais quoi ici ? car ici, c'est à moi, à moi, à moi... ( je ne pensais pas être un jour sur internet, moi, pauvre déchet humain au niveau sociologique ) bon, le recyclage a duré dix ans ( pour une métamorphose en robot ? ) ???????????????? si je ne poursuis pas certains sujets, çà peut être pour une raison que je ne peux pas expliquer sinon on me prendrait pour une dingue.... vraiment, car j'ai observé des façons comportementalistes informatiques que je ne peux qu'imiter si çà me plait sans les comprendre.... Peut-être que Google a pigé car il me suit... Hello, Google, çà va ? je déraille... je suis ici ds le sujet 2020 fin de vie. Mon déraillement est un choix, enfin pas tant que çà, je vous imite, Français, Françaises, mes concitoyens et mon Gouvernement, vous qui avez cet art subtil de tourner en rond autour de la fin de vie.. Si je me marre, c'est pour ne pas pleurer ( à votre sujet ). On parlerait d'une loi Cocq... En l'an 2050 ? Désolée... |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 07.09.20 15:32 | |
| citation Covid-19 : "Ce qui nous fait peur" à Marseille, c'est l'"augmentation exponentielle des cas graves", alerte un professeur commentaire j'habite ds une autre ville et je souhaite vraiment " l'augmentation exponentielle des cas graves " en France, du Nord au Sud, d'Ouest à l'Est jusqu'à la fin de l'hiver 2021 (car une des conséquences sera le tri en réa ). Covid-19, canicule, Alain Cocq... et quoi d'autre encore ? Jean Léonetti continue de s'acharner ds sa bulle idéologique et sur les autres... |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 08.09.20 12:22 | |
| le pb du covid-19, c'est que c'est contagieux ( mais toute grippe est contagieuse et on est libre de se faire vacciner ou pas contre la grippe ). Le pb du lobby Léonetti, c'est que c'est obstinément répétitif en donnant quelques idées aux uns et aux autres ( par ex. tentative d'essai du jeûne total et complet, bouffe et flotte, par curiosité surtout, ou pour en finir ainsi ). le pb du suicide, ce sont ses ambiguités diverses et variées. Chacun est libre de faire ce qu'il veut chez lui, d'être à poil à longueur de journée par ex. Donc chacun est libre de se suicider ou de ne pas se suicider à domicile, ds la plus grande discrètion. Il y a suicide et suicide. On peut se suicider en quelques minutes, en quelques heures, ds une journée, en quelques jours et quelques nuits, en quelques mois, ou en plusieurs années ( suicide concrètement physique ). S'empêcher de boire pendant une canicule est un exemple tout bête, d'autant plus que la vieillesse fait disparaitre la sensation de soif. Si on ne boit pas assez, la mort est à l'horizon, au loin, bien loin, mais elle est là. Ce n'est pas compliqué, c'est même tout bête. Le pb c'est qu'il ne faut pas en parler, de peur d'une hydratation imposée. Effectivement le suicide est vraiment ambigû. On peut faire ce qu'on veut de son corps, mais il ne faut pas que les autres le sachent tant qu'on n'est pas réellement mort... Et ils osent parler d'accompagnement dans la mort ! mon cul !!! ... Où vais-je ainsi ds mes écrits ? je ne sais pas, c'est comme si je ne réfléchissais même pas, sauf pour éviter fautes d'orthographe et de frappe.... |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 09.09.20 11:04 | |
| - Admin a écrit:
- Facile d'être mourant, difficile de mourir ! par ex. si j'écris qui je suis, où je suis, et si j'annonce mon saut réel par la fenêtre, on m'attendra en bas pour me récupérer à leur manière.
Faut-il faire de la pub à propos de sa mort si on veut à tout prix aller jusqu'au bout ? Oui et non. Alors je ne sais pas... ... ... Par contre, abîmer volontairement ses constantes biologiques discrètement et pendant longtemps, c'est faisable, mais c'est plus long que la Sédation Profonde Continue Jusqu'au Décès ( il suffit d'éviter les hospitalisations pour qu'on ne ne rende compte de rien ). C'est ce que j'appelle un suicide lent biologique. Rentrer dans le jeu de Jean Léonetti, ou ne pas y rentrer, that is the question ! LIBERTE, j'écris ton nom ... La loi Léonetti, j'ai le droit de la mettre en pratique pour moi du commencement jusqu'à la fin, car c'est une loi et je respecte cette loi ... ... ... |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 09.09.20 14:15 | |
| je me suis déjà demandée, bien avant l'affaire A.C. si on passait ici ds le but de me censurer ( comment ? je ne sais pas ) car mon attitude est ambigüe et provocatrice sachez qu'on m'a bien provoquée sur le web entre 2008 et 2010 à propos de la fin de vie je renvoie la balle avec maladresse et obstination ... et je ne fais même pas joujou sur les réseaux sociaux... l'isolement et la solitude calment la boule de nerfs que je suis car les douleurs neuro-musculaires sont bien réelles et on s'en fout bon, je bouffe mal et je bouffe n'importe quoi, çà peut jouer |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 09.09.20 15:08 | |
| [size=46]"Tout est bon à prendre pour protéger les autres" : la vaccination obligatoire contre la grippe à l'étude pour les soignants[/size] Les symptômes de la grippe et du Covid-19 étant très similaires, l'Académie de médecine demande que la vaccination soit obligatoire pour toutes les personnes travaillant auprès de publics fragiles. Une sorte de " nazisme médical " ? et si les autres, le public fragile, ne veulent pas être protégés ? Qui a supprimé le Myolastan ? Qui a supprimé le Décontractyl ? Mourir d'une grippe, quoi de plus naturel ? On en a marre, marre, marre... de cette médecine à la française, marre. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 12.09.20 19:13 | |
| Je suis peut-être une handicapée chiante et compliquée, mais cette problématique de fin de vie dure depuis trop longtemps en France, soit on s'abîme la santé avec, soit on dégringole dans un jeu pervers et absurde. Je pense que ce n'est pas clair du tout d'être pro-masque covid-19 et pro-choix en même temps...De même ce n'est pas clair du tout, le fait de ne pas pouvoir faire son deuil, que l'on soit pro-choix ou pro-vie. Les docteurs ne sont pas des marionnettes et les patients devraient avoir un minimum de dignité en sachant ce qu'ils veulent ( en tenant compte du contexte de leur pathologie ). Les docteurs devraient s'obliger à freiner en fin de vie leurs paroles mielleuses mêlées à une distribution intéressée de certains psychotropes. S'il n'est pas évident de se tuer soi-même, le jeûne de nourriture et de boisson est pratiqué dans des formes diverses et variées sur toute la planète depuis très longtemps.Si on ne sait pas ce qu'on veut, il serait cohérent de s'imposer un minimum de discrétion et de ne pas trop faire joujou avec les médias, les associations et le public... |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 12.09.20 22:55 | |
| [size=44]Affaire Alain Cocq: les députés se pencheront bientôt sur l’euthanasie[/size] Par Auteur valeursactuelles.com / Jeudi 10 septembre 2020 à 19:12[size=20]7L’affaire Alain Cocq a relancé le débat sur l’euthanasie. Les députés pourraient se pencher rapidement sur la question.Il souhaitait se laisser mourir avant de revenir sur sa décision. Alain Cocq, qui a été hospitalisé lundi 7 septembre, a annoncé mercredi qu’il avait donné son accord pour être réhydraté et réalimenté. Le quinquagénaire est atteint d’une maladie incurable. Il avait posté une vidéo sur Facebook, dans la nuit de vendredi à samedi, dans laquelle il annonçait vouloir interrompre tout traitement et se laisser mourir en direct. Une mort filmée dont le but était, selon lui, de dénoncer « l’agonie » contrainte par l’actuelle loi française sur la fin de vie. Notamment, parce que sa demande de suicide assisté « à titre compassionnel » avait été refusée par Emmanuel Macron. L’affaire a donc remis sur la table le débat sur la fin de vie et donc sur l’euthanasie. Les députés pourraient ainsi bel et bien légiférer très rapidement sur la question. En effet, c’est l’hebdomadaire La Vie qui a annoncé l’information. En outre, selon la journaliste Olivia Elkaim, le député lyonnais Jean-Louis Tourraine a déclaré, que suite à cette affaire, il venait de réactualiser sa proposition de loi sur « l’aide active à mourir ». Résultat : les députés devraient se pencher rapidement sur la question et pourraient donc légiférer sur l’euthanasie bien plus tôt que prévu.[/size] [/size] |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 13.09.20 11:22 | |
| Coronavirus : Un collectif de médecins appelle à siffler « la fin de la récréation » en France ATTENTION « Il reste probablement peu de temps pour agir collectivement » préviennent les six médecins dont Axel Kahn et Anne-Claude Crémieux
20 Minutes avec AFP Publié le 13/09/20 à 08h46 — Mis à jour le 13/09/20 à 09h28
Commentaire on vous demande de réactualiser les D.A. en rapport avec le Covid-19 ( des personnes âgées ne veulent ni confinement, ni réanimation, mais une aide active à mourir en cas de covid-19 ) et une légalisation du Suicide Assisté. Tant que NOTRE objectif ne sera pas atteint, quelques uns d'entre nous chercherons à faire joujou avec ce virus. Est-ce clair, oui ou non ? |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 13.09.20 11:59 | |
| Ceux et celles qui ont l'intention de proposer une énième fois un nouveau droit de mourir dignement, en dignité, avec dignité, dans la dignité à la prochaine élection présidentielle française républicaine sont des manipulateurs et des manipulatrices...
STOPvoteSTOPdonSTOP
Et quand on décide concrètement et médiatiquement de se laisser mourir selon les lois Léonetti, on devrait avoir la dignité noble d'aller jusqu'au bout, jusqu'à la mort. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 13.09.20 16:14 | |
| CORONAVIRUS: LE GOUVERNEMENT PUBLIE UN NOUVEAU SPOT CHOC POUR LE RESPECT DES GESTES BARRIÈRES
commentaire: ok MAIS vous NE proposez RIEN pour la fin de vie à la Covid-19 ... s'il y a eu un changement radical ds notre vie quotidienne, pourquoi il n'en serait pas de même pour notre mort ? la loi Léonetti du 22 avril 2005 a été faite suite à la canicule de l'été 2003 et l'affaire Vincent Humbert. Il semblerait que vous ayez l'occasion maintenant de transformer la sédation profonde continue jusqu'au décès en une SEDATION EXPLICITEMENT LETALE car cela a déjà été proposé. Mais vous continuez à ne rien faire, donc nous continuons à nous foutre de vos gestes barrière et toutes les conneries qui vont avec. Désolée dignement et noblement... Quant à Alain Cocq, demander une aide active à mourir au Président de la République, puis commencer un laisser mourir à la sauce Léonetti pour ensuite se faire hospitaliser, et enfin demander une cagnotte sur FB pour son logement, çà me tue, j'ai envie de mourir ce soir ( je me comprends très bien si je ne dois pas rentrer ds les détails persos ). |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 14.09.20 12:02 | |
| Mourir dignement, c'est ne pas mourir comme des bêtes à l'abattoir. C'est pourtant ce qui se passe avec le covid 19, même le don d'organe post-mortem est en voie de disparition c'est DINGUE. Il n'y a pas de solution. Si, le suicide. Encore faut-il y arriver... |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 15.09.20 14:43 | |
| Le Covid-19 pourrait devenir saisonnier, comme la grippe Des chercheurs expliquent que le coronavirus SARS-CoV-2 pourrait, à l’instar du virus de la grippe, devenir saisonnier et réapparaître tous les hivers.
eh bien tant mieux ! c'est comme les lois Léonetti ! rien de nouveau sous le soleil... |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 16.09.20 14:17 | |
| Fin de vie : “Pour que l'inconstance de nos désirs reste un droit” Publié le 11/09/2020 à 11h41 - Modifié le 11/09/2020 à 11h28 Olivia Elkaim
Le docteur Claire Fourcade, présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap), dans sa polyclique Le Languedoc à Narbonne. Nanda Gonzague/Divergence Le docteur Claire Fourcade, présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap), dans sa polyclique Le Languedoc à Narbonne. Nanda Gonzague/Divergence
Pour le docteur Claire Fourcade, la loi Claeys-Leonetti doit être pleinement appliquée.
Alain Cocq, souffrant depuis plusieurs décennies d’une maladie dégénérative, a réclamé une exception d’euthanasie, que lui a refusé le président de la République. Militant de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), il a alors souhaité médiatiser son suicide sur Facebook, espérant faire évoluer la loi française (Le réseau social a bloqué son compte)… Avant de se rétracter, comme de très nombreux malades le font dans des cas extrêmes similaires, au sein des services de soins palliatifs. Cette affaire a relancé le débat sur l’euthanasie et le suicide assisté dans notre pays. Vincent Humbert, Chantal Sébire, Anne Bert, Jacqueline Jencquel… Ces cas particuliers, très médiatisés, ont eux aussi, avant Alain Cocq, suscité une forte émotion populaire. La nouvelle présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) Claire Fourcade, dans un court texte confié à La Vie, se dresse contre toute forme d’idéologie pro-euthanasie qui fermerait définitivement la porte au doute qui traverse tout homme au moment de sa mort.
Les soins palliatifs connaissent la fragilité, la vulnérabilité, le désir de vivre comme parfois celui de mourir.
« Mme Jenquel a choisi, pour le moment, de repousser son suicide dont l’annonce avait été largement médiatisée pour pouvoir faire la connaissance de son futur petit-fils. M.Cocq a choisi, pour le moment, de reprendre l’alimentation et d’envisager un retour à domicile avec l’aide d’une équipe de soins palliatifs.
Nous autres humains sommes tous ambivalents et complexes. La vie se glisse dans tous les interstices que lui laissent la maladie, la peur ou le découragement. Depuis leur création les soins palliatifs s’attachent à ne pas accepter que l’idéologie l’emporte sur l’humain et sur la vie. Ils connaissent la fragilité, la vulnérabilité, le désir de vivre comme parfois celui de mourir, la nécessité du respect de notre inconstance.
La loi Claeys-Leonetti sur les droits des personnes en fin de vie offre la place au doute, à l’incertitude, à l’écoute attentive des personnes et à la recherche d’un accompagnement juste et adapté. Appliquons pleinement cette loi pour que chacun de nous puisse voir respecté son droit à hésiter, changer, errer ou douter. Laissons ouvert le champ des possibles qui font la vie et que ferme l’euthanasie. »
Dr Claire Fourcade, Polyclinique le Languedoc, Narbonne, présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 17.09.20 19:41 | |
| Le problème d'Alain Cocq, c'est le fait qu'il a voulu devenir médiatiquement le contraire de Vincent Lambert, une personne handicapée, malade, âgée qui demande elle-même à mourir, son problème, c'est que c'est... raté, médiatiquement et concrètement. Il aurait dû mieux réfléchir ( ou moins réfléchir ? ). Manipulation ou trop de pathologies ? ou les deux ? |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 18.09.20 17:14 | |
| 18/09/2020 09:17 CEST "Les cas contacts de cas contacts ne sont pas des cas contacts": explications Si cette petite phrase du ministre de la Santé Olivier Véran a fait sourire, elle en dit long sur la difficulté d'identifier les cas prioritaires pour un dépistage.
JE N'Y COMPRENDS RIEN ( et je m'en fous ). La vie est déjà compliquée, pas la peine d'en rajouter, de toute façon, puisque nous allons tous et toutes mourir.. Laissez-nous mourir Ne prenons pas soin de nous Du blablabla et chacun fait ce qu'il veut, quand il veut, comme il veut, où il veut OU chacun fait ce qu'il peut, quand il peut, comme il peut, où il peut je n'en sais rien, je sais au moins cela... et donc je ne suis rien ? Mais je suis quand même, en étant rien ! Blablabla...
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 18.09.20 20:31 | |
| Conjonctivite, asthme, intoxication au CO2… Le vrai du faux des effets indésirables du masque La protection faciale, obligatoire dans plusieurs grandes villes, peut provoquer des désagréments réels. Mais les rumeurs de risque d’hypoxie et d’intoxication au dioxyde de carbone sont infondées.
Par William Audureau Publié le 16 septembre 2020 à 13h09, mis à jour hier à 06h28
Porter un masque n’est pas nocif pour la santé, selon plusieurs spécialistes. Porter un masque n’est pas nocif pour la santé, selon plusieurs spécialistes. CYRIL BITTON POUR « LE MONDE » Ils provoqueraient des « effets dévastateurs » tels que « boutons, malaises, respiration [difficile] » ; rendraient le sang acide et pourraient provoquer des pneumonies. Les masques, devenus obligatoires en intérieur ainsi qu’en extérieur dans certaines métropoles, comme Paris ou Lyon, seraient-ils un remède pire que le mal ?
Les messages de ce type, déjà présents sur les réseaux sociaux à la fin du printemps, ont redoublé de popularité depuis la rentrée – alors que des législations nouvelles imposent le port du masque –, portés par des discours contestataires fortement médiatisés, comme celui du pneumologue lyonnais Patrick Bellier – convoqué par l’ordre des médecins du Rhône pour avoir tenu un discours antimasque auprès de ses patients et à la télévision.
Qu’en est-il réellement de leurs supposés effets néfastes ? « Il y a comme souvent beaucoup d’exagérations et un fond de vérité », avertit son homonyme Alexandre Bellier, assistant hospitalo-universitaire au CHU Grenoble-Alpes et vice-président de l’association de veille scientifique sur le Covid-19, Bibliovid.
Acné, maux de tête, sécheresse oculaire…
VRAI Le port prolongé du masque peut entraîner un certain nombre de problèmes, allant des manifestations dermatologiques mineures (rougeurs, acné) à des effets plus incommodants (maux de tête et, dans de plus rares cas, troubles de la concentration).
A ce stade, ils restent toutefois peu documentés dans la littérature médicale. « Un article scientifique en particulier rapporte ce type d’inconvénients chez des soignants qui portent le masque toute la journée, explique Alexandre Bellier. Toutefois, le niveau de preuve reste assez faible et il manque de larges études bien conduites pour pouvoir avoir une meilleure idée de la fréquence de ces effets indésirables. »
Les yeux seraient également exposés à des effets secondaires non désirés. « Le risque qui est documenté est celui de l’infection oculaire, avec des irritations des paupières ou des conjonctivites, souvent quand le masque est mal porté ou trop longtemps, rapporte Gilles Dixsaut, médecin de santé publique spécialiste en physiologie respiratoire, président du comité francilien de la Fondation du souffle. D’où l’intérêt de faire une formation sur l’utilité de bien porter son masque. »
Le masque est problématique pour les personnes asthmatiques LES SPÉCIALISTES SONT PARTAGÉS Il s’agit d’une autre affirmation récurrente des personnes qui refusent le port du masque. Les avis sur le sujet sont partagés.
Membre de la Société de pneumologie de langue française (SPLF), la professeure Claire Andrejak, du CHU d’Amiens, assure ainsi à Libération que le masque ne provoque pas d’« inconfort manifeste, y compris chez les patients insuffisants respiratoires sévères », et en recommande le port plutôt que celui de la visière, bien moins efficace. « L’asthme n’est pas une cause de dérogation au port du masque grand public. Même s’il est parfois ressenti comme gênant, il ne peut pas occasionner de symptômes respiratoires particuliers chez les asthmatiques », corrobore l’association Asthme et allergies.
Gilles Dixsaut se montre plus mesuré : « Les asthmatiques ont une obstruction respiratoire et le masque constitue une obstruction supplémentaire. Il ajoute un facteur de plus à leur handicap. » Le spécialiste en physiologie respiratoire évoque des désaturations plus rapides lors des tests à l’effort, des crises d’asthme, ainsi que des victimes de pathologies respiratoires sévères qui rechignent à se rendre à l’hôpital, faute de supporter le port du masque. Faut-il le contre-indiquer pour autant ? Non, tempère le membre de la Fondation du souffle, rappelant son utilité prouvée, en tout cas en intérieur, et le besoin de protéger les personnes souffrant déjà de problèmes respiratoires.
Le masque favoriserait la prolifération des microbes FAUX « Ce masque soi-disant barrière est devenu un piège à microbes, à virus (y compris le Covid) et à parasites… », peut-on lire sur Facebook. En retenant l’air exfiltré dans ses mailles, il coincerait son hôte dans une bulle remplie de ses propres miasmes fourmillant de bactéries et de virus, créant ce que certains appellent un « cycle infectieux ». Un raisonnement inutilement anxiogène, estime Gilles Dixsaut, tout en rappelant qu’un masque réutilisable doit être régulièrement lavé :
« Les poumons et les bronches ne sont pas des milieux stériles, il y a à l’intérieur tout un microbiote qui constitue un équilibre. Les bactéries que vous expirez viennent de ce microbiote. »
La thèse du bouillon de culture microbien ne tient tout simplement pas, affirme Gérard Lina, président de la Société française de microbiologie : « La température du masque est environ à 25 °C, alors que celle du corps est de 37 °C. Les bactéries et virus qui infectent l’homme se multiplient beaucoup mieux à 37 °C qu’à 25 °C. Les masques chargés de gouttelettes expirées ne constituent pas un bon bouillon de culture. »
Dans un registre proche, des publications reprochent au contraire au masque de couper son porteur des microbes extérieurs, et, faute de stimulation, accusent le filtre antivirions d’affaiblir le système immunitaire. « Aucune explication claire n’est donnée pour expliquer ce lien, et, là encore, aucun argument scientifique ne vient appuyer cette hypothèse », rejette l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).
Les masques font chuter le taux d’oxygène dans le sang FAUX L’idée est née dès le printemps : les protections faciales altéreraient les capacités respiratoires et provoquerait des carences en oxygène, ou hypoxie.
Ces inquiétudes persistantes sont infondées. « Ils ne peuvent pas générer une hypoxie. Pour cela, il faudrait que le masque soit hermétiquement collé à notre peau. Ce que limite les masques de protection, c’est l’entrée de molécules plus grandes », expliquait, dès mai, le docteur Emilio Herrera, professeur de physiopathologie à l’université du Chili, à Santiago, interrogé par l’Agence France-Presse (AFP).
« Les masques, notamment chirurgicaux, sont conçus pour être portés pendant une durée de plusieurs heures par les professionnels de santé, sans entraver leurs capacités à travailler ni altérer leurs capacités respiratoires », rappelle l’Inserm. Il n’existe donc pas de risque avec les masques homologués.
Ils provoqueraient des intoxications au CO2 FAUX C’est une rumeur tenace sur les réseaux sociaux, déjà démontée par l’AFP. Les masques, en empêchant l’air respiré d’être expulsé, amèneraient leur porteur à s’intoxiquer avec ses propres rejets de dioxyde de carbone. Cet air que l’on expire ne deviendrait-il pas toxique, à force de le rerespirer à cause du masque ?
« C’est une ânerie, balaie Gilles Dixsaut. Respirer son propre C02, c’est ce qu’on fait en permanence : quand vous expirez, vos bronches sont remplies de l’air que vous avez déjà respiré. Avec un masque, on rajoute quelques millilitres, mais cela ne change strictement rien à la physiologie respiratoire. »
Contrairement à une fabrication artisanale, qui par définition ne suit pas forcément de cahier des charges strict, les masques respectant la norme Afnor sont spécifiquement conçus pour permettre de respirer normalement, malgré ce que la sensation de chaleur et d’humidité peut faire croire. « Si certaines personnes peuvent se sentir gênées par le fait de porter un masque, c’est par manque d’habitude : ces protections sont développées de manière à laisser passer l’oxygène dans l’organisme. Le risque d’une intoxication au CO2 n’est aucunement avéré », corrobore l’Inserm, qui évoque un mélange de « craintes et de désinformation ». |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 19.09.20 17:01 | |
| j'ai l'air d'être une obsédée. Je le suis. Impossible de comprendre pourquoi on en fait tant pour le covid-19 et rien pour la fin de vie. Alors j'ai une nouvelle idée, je vais faire un essai sur moi, je ne dis pas quoi pour fuir les liens. Après tout, j'ai essayé plusieurs fois à des époques différentes le jeûne total et absolu ( arrêt bouffe + flotte ) pour diverses raisons, ce qui a probablement abîmé ma santé. Alors au point où j'en suis...J'ai envie de tenter une expérience dont le but n'est pas de me faire mourir ( puisque je n'y arrive pas de toute façon ), je veux juste voir les conséquences sur mon corps qui est déjà pourri de toute façon. La curiosité me bouffe la vie... Mon corps m'appartient, et les docteurs, je les emmerde ! La violence est partout en France, nous devenons tous et toutes violents, il y a de quoi. |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 21.09.20 9:02 | |
| Soins palliatifs : préserver le contact humain La crise du Covid-19, le confinement et les mesures strictes d’isolement des patients à l’hôpital et en Ehpad a rendu très difficile l’accompagnement de la fin de vie par les familles mais aussi par les services de soins palliatifs et les bénévoles. Une enquête a tenté de mesurer l’impact de la crise sanitaire sur ces soins palliatifs. Par Geneviève DAUNE - 05 sept. 2020 à 05:01 - Temps de lecture : 4 min | | Vu 2490 fois
Le Pr Vincent Morel a présenté une enquête sur la place des soins palliatifs pendant la crise du Covid, lors du 26 e congrès national de la SFAP (Société française d’accompagnement et de soins palliatifs) qui s’est déroulé à Strasbourg. Photo L’Alsace /Jean-Marc LOOS
Le 26e congrès de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) qui vient de se dérouler à Strasbourg a été l’occasion de revenir sur la crise du Covid-19. Le Pr Vincent Morel, qui préside le conseil scientifique de la SFAP, indique : « Nous vivons une crise sans précédent dans un contexte d’angoisse, confrontés à une épidémie d’un virus totalement inconnu, avec des connaissances scientifiques qui s’enrichissent au fil de l’eau. Et les professionnels de santé doivent travailler dans un monde d’incertitudes alors que les soignants ont généralement des certitudes ! » Il relève aussi qu’en ajoutant l’afflux massif de patients graves pendant des semaines et des mois, « il y a eu un effet de sidération partout, y compris dans les zones les moins impactées. On a eu du mal à réfléchir. »
Manques de protections et de produits de sédation
La SFAP s’est énormément mobilisée. « D’abord avec les institutions, qui nous ont appelés pour voir comment améliorer la prise en charge et comment adapter les pratiques funéraires. » De ce travail sont sorties plusieurs fiches de recommandations, dont celles autour de la sédation en situation d’accès restreint aux produits de sédation. Des recommandations qui ont ensuite été modifiées en fonction des retours d’expérience du terrain. « En même temps, il a fallu être très pédagogue pour expliquer aux médias la démarche, l’éthique et combattre les fausses infos sur la sédation. »
En avril, la SFAP a mandaté son conseil scientifique pour enquêter sur l’impact de la crise du Covid sur les organisations et les pratiques de soins palliatifs. « Entre le 19 mai et le 2 juin, on a demandé aux structures de soins palliatifs et aux équipes mobiles d’expliciter les trois principaux points de tension mais aussi les outils et les méthodes mises en œuvre pour répondre globalement aux attentes. » Une des principales difficultés rencontrées a été de vivre et travailler avec l’angoisse liée au Covid, « avec, outre la peur de l’infection pour soi, la peur aussi d’infecter des proches ». Il y avait aussi la difficulté de s’adapter à une situation inconnue et l’anxiété anticipative dans les zones peu exposées. Pour le médecin, « ces angoisses auraient été moins difficiles à appréhender s’il n’y avait pas eu le manque de matériel en moyens de protection et en produits de sédation ».
Une grande frustration pour les équipes a été la limitation d’accès aux patients, avec des visites de familles très limitées voire interdites, l’arrêt des intervenants extérieurs et bien sûr des bénévoles de la SFAP, et enfin, l’accès difficile au corps des défunts. Là encore en raison du manque de moyens de protection. « Comment vivre la relation d’accompagnement si fondamentale en soins palliatifs dans ce contexte ? », s’interroge le Pr Morel. Des équipes mobiles de soins palliatifs ont ainsi mal vécu d’avoir été redéployées en fonction des besoins des établissements sanitaires. « On a dû défendre le « care » (prendre soin) plutôt que le « cure » (soigner). »
Protocoles et proactivité
Côté positif, il y a eu l’élaboration et la mise en œuvre très rapide d’outils, d’arbres décisionnels, de protocoles ainsi qu’une astreinte 24h/24 et 7j/7 et un renforcement du lien avec les Ehpad. « La décision d’envoyer ou non une personne âgée vers un service de réanimation a toujours été faite en fonction de sa situation globale et sur des critères qui existent depuis longtemps en réanimation. Il n’y a pas eu de tri », affirme encore le médecin.
La crise a aussi induit une proactivité : « Les équipes n’attendaient pas d’être sollicités mais appelaient une à deux fois par semaine tous les partenaires conventionnés pour prendre des nouvelles des résidents et soutenir les soignants. » Ce qui a éveillé la curiosité d’équipes soignantes pour les soins palliatifs.
Pour le futur, il préconise de trouver un équilibre entre un certain nombre de contraintes et le souhait de retrouver un contact humain. Mais il relève que ceux qui ont transgressé les mesures de protection collective pour permettre une dernière rencontre d’un patient avec ses proches, l’ont fait au risque d’être poursuivis par d’autres familles pour mise en danger de leur proche. « Il faut que ce risque soit collectivement accepté pour pouvoir ouvrir un peu plus d’espace à l’accompagnement dans ce contexte. »
A lire aussi Fin de vie : quel âge pour mourir ? Paroles de soignants sur scène
À partir des quelque 25 heures de témoignages recueillis auprès de professionnels de santé dans les hôpitaux ou dans des Ehpad, 20 minutes de paroles ont été mises en scène par la compagnie Inédit Théâtre, pour le congrès de la SFAP, avec une comédienne qui a interprété les différents propos sélectionnés. Des verbatims de médecins, d’infirmières, de cadre de santé et d’aides-soignantes qui ont exprimé leurs craintes, désarroi mais aussi engagement lors de la crise sanitaire. Extraits : « Le réanimateur est là pour sauver. Mais on ne sauve personne ! » ; « On sentait le poids sur les épaules des réanimateurs. Un poids lourd. Ils se sentaient impuissants mais un réanimateur impuissant, ce n’est pas possible. » ; « Il y a beaucoup de tabous sur les émotions parmi les soignants » ; « Est-ce que cela a déjà existé qu’on interdise aux gens d’aller voir leurs aînés en train de mourir ? » ; « Les personnes âgées des maisons de retraite, personne ne leur a demandé leur avis. Si elles étaient d’accord pour prendre le risque d’attraper le virus, versus ne plus voir personne. » |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 21.09.20 10:16 | |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 27.09.20 21:15 | |
| je revendique le droit de mourir du covid-19 sans passer par la case " réanimation " si je suis ds cette situation et parce que c'est mon choix, donc mon droit, je revendique donc une aide active à mourir... illégale en France parce que Jean Léonetti s'amuse à refaire sa loi de manière obstinée et égocentrique depuis des années... |
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| Sujet: Re: 2020 fin de vie 28.09.20 16:48 | |
| J.L. Touraine va de nouveau proposer sa loi sur euthanasie et S.A. suite à l'affaire Alain Cocq. OUF il était temps mais ne soyons pas dupes. A.C. a médiatisé son cas ( pourquoi pas si tel était son choix ) mais il n'est pas allé jusqu'au bout du processus qu'il avait envisagé, arrêter ses traitements ( sauf la morphine ) et mourir de faim et de soif selon la dernière loi Léonetti de février 2016. Pas mal de gens meurent ainsi sur notre planète. Outre sa médiatisation ratée, il est parfaitement récupéré par toutes les associations s'occupant de la fin de vie, que ce soit au niveau pro-vie ou au niveau pro-choix ( nous savons que chez les pro-vie, on peut être pour la loi Léonetti ou contre la loi Léonetti ). Il n'y a pas d'affaire Alain Cocq. L'euthanasie et le SA doivent être dorénavant d'actualité à cause du covid-19, à cause de la réforme des retraites à venir, à cause de la baisse permanente de la natalité. La PMA a été votée, le SA sera voté. Avec du retard à cause du quinquennat précédent...
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